Le Mercredi 24 Octobre 2012 par pyrOMan
Depuis le 30 septembre et le déplacement à Valenciennes (4-1), la machine phocéenne semble caler. La large victoire au Vélodrome face à Limassol (5-1) n'y change pas grand chose : l'OM n'a pris qu'un point lors de ses trois dernières rencontres de L1... Sans prendre en compte les enjeux européens de l'opposition de demain face à Mönchengladbach cette rencontre pourrait tout simplement permettre aux hOMmes de Baup de relancer une machine dont les rouages grincent quelque peu.
Effectivement, hormis le parcours éventuel en Europe, des rencontres de milieu de semaine dans un contexte différent (moins de pression notamment) peuvent permettre à une équipe de retrouver le droit chemin. La victoire face à Limassol faisant suite à la déculottée en terre Nordiste montre par ailleurs que l'effet voulu n'est pas systématique. Cependant ce nouvel enjeu peut-être une source de motivation supplémentaire pour décrocher la victoire.
Sur le plan purement arithmétique maintenant, une victoire en terre Allemande serait véritablement une option prise pour la qualification. Dans le cas inverse, une défaite relancerait les joueurs de Lucien Favre dans la course à la qualification. Lucien Favre, ce nom ne vous rapelle rien ? Il était pourtant pressenti pour remplacer Didier Deschamps à la tête de l'OM mais Elie Baup lui a finalement été préféré, pour des raisons économiques notamment. Arrivé en 2011, le technicien suisse a réussi à hisser le club à la quatrième place en Bundesliga, qualification pour le tour préliminaire de Champion's League en poche. Depuis, l'autre Borussia, le Borussia Dortmund lui a piqué un de ses poulains : Marco Reus. Orphelin de cet élément offensif précieux le club remonté dans l'élite en 2008, est à la peine cette saison : le rêve de Champion's League envolé le club est ainsi reversé en Europa League alors qu'en Bundesliga il occupe une tristounette treizième place avec seulement deux victoires en neuf rencontres. Le club allemand semble alors bien loin de sa période dorée où il a construit presque l'intégralité de son palmarès (2 coupes de l'UEFA, 5 Bundesliga, 2 coupes d'Allemagne) dans les années 1970. Et ce n'est pas la lourde défaite concédée ce week-end (0-4) face au Werder Brême qui dira le contraire. C'est donc une équipe piquée dans son orgueil qui sera aux prises face à une autre non moins revancharde.
Le début de saison quasi parfait de l'OM est à relativiser désormais avec la mauvaise passe actuelle. La défaite du week-end dernier face à la lanterne rouge troyenne, défaite qui aura fait perdre à l'OM sa première place et son avant-centre prouve que ce Marseille-là n'est pas serein. L'occasion est belle pour Baup de faire quelque peu tourner son effectif avec Barton par exemple mais aussi peut être de faire des tests et notamment offensivement. Cette rencontre peut permettre également à Loïc Rémy de se régler tout en ne perdant pas de vue de décrocher un bon résultat bénéfique aussi bien sportivement qu'arithmétiquement.
Mais dans cette enceinte ultra-moderne ce ne sera pas une mince affaire. A moins de relancer la machine, en s'inspirant de l'exploit de décembre dernier chez l'autre Borussia ?
Effectivement, hormis le parcours éventuel en Europe, des rencontres de milieu de semaine dans un contexte différent (moins de pression notamment) peuvent permettre à une équipe de retrouver le droit chemin. La victoire face à Limassol faisant suite à la déculottée en terre Nordiste montre par ailleurs que l'effet voulu n'est pas systématique. Cependant ce nouvel enjeu peut-être une source de motivation supplémentaire pour décrocher la victoire.
Sur le plan purement arithmétique maintenant, une victoire en terre Allemande serait véritablement une option prise pour la qualification. Dans le cas inverse, une défaite relancerait les joueurs de Lucien Favre dans la course à la qualification. Lucien Favre, ce nom ne vous rapelle rien ? Il était pourtant pressenti pour remplacer Didier Deschamps à la tête de l'OM mais Elie Baup lui a finalement été préféré, pour des raisons économiques notamment. Arrivé en 2011, le technicien suisse a réussi à hisser le club à la quatrième place en Bundesliga, qualification pour le tour préliminaire de Champion's League en poche. Depuis, l'autre Borussia, le Borussia Dortmund lui a piqué un de ses poulains : Marco Reus. Orphelin de cet élément offensif précieux le club remonté dans l'élite en 2008, est à la peine cette saison : le rêve de Champion's League envolé le club est ainsi reversé en Europa League alors qu'en Bundesliga il occupe une tristounette treizième place avec seulement deux victoires en neuf rencontres. Le club allemand semble alors bien loin de sa période dorée où il a construit presque l'intégralité de son palmarès (2 coupes de l'UEFA, 5 Bundesliga, 2 coupes d'Allemagne) dans les années 1970. Et ce n'est pas la lourde défaite concédée ce week-end (0-4) face au Werder Brême qui dira le contraire. C'est donc une équipe piquée dans son orgueil qui sera aux prises face à une autre non moins revancharde.
Le début de saison quasi parfait de l'OM est à relativiser désormais avec la mauvaise passe actuelle. La défaite du week-end dernier face à la lanterne rouge troyenne, défaite qui aura fait perdre à l'OM sa première place et son avant-centre prouve que ce Marseille-là n'est pas serein. L'occasion est belle pour Baup de faire quelque peu tourner son effectif avec Barton par exemple mais aussi peut être de faire des tests et notamment offensivement. Cette rencontre peut permettre également à Loïc Rémy de se régler tout en ne perdant pas de vue de décrocher un bon résultat bénéfique aussi bien sportivement qu'arithmétiquement.
Mais dans cette enceinte ultra-moderne ce ne sera pas une mince affaire. A moins de relancer la machine, en s'inspirant de l'exploit de décembre dernier chez l'autre Borussia ?