Le Samedi 17 Août 2013 par jay-jay
Vainqueur de Guingamp trois buts à un lors de la première journée de notre belle Ligue 1, l'OM se doit de confirmer sa belle prestation offensive en y ajoutant une plus grande sérénité défensive. Au coup d'envoi, Elie Baup a choisi la continuité, un seul changement (Morel à la place de Mendy sur le coté gauche de la défense). Choix visiblement payé puisque malgré les belles paroles de Pascal Dupraz (entraineur d'Evian TG) qui attendait de ses joueurs qu'ils se subliment, ce sont les marseillais qui rentrent le mieux dans ce match. Illustration dès la 2ème minute avec cette volée de Gignac servi par Valbuena.
Malgré une domination territoriale des phocéens, les visiteurs s'enhardissent quelque peu et tentent quelques "coups" par l'intermédiaire de Bertoglio ou de Bérigaud. Pas de quoi affoler la défense marseillaise, jusqu'à cette frappe de Benezet à la14ème minute. Heureusement, Mandanda veille et met le ballon en corner. On dit souvent (attention gros poncif à l'horizon) que lorsqu'une équipe rate une occasion pareille, elle prend un but juste derrière. Eh bien ce match va le confirmer puisque 2 minutes plus tard, sur une magnifique ouverture de Fanni, Gignac ouvre le score après un enchainement digne des plus grands (je ne citerais aucun nom, faites votre choix !).
Ce but va libérer des marseillais qui avaient un peu de mal à combiner dans les 30 derniers mètres adverses. De leur coté, les joueurs d'Evian multiplient les fautes et vers la 30ème minute, Imbula est touché à la jambe droite. Son abatage sur la pelouse s'en ressent, le jeune milieu marseillais perdant plusieurs ballons coup sur coup mais semble vouloir rester sur la pelouse. Evian en profite pour sortir de sa torpeur et se réveille dans le dernier ¼ d'heure de cette première mi-temps, en vain. Mieux, c'est l'OM qui se crée la dernière occasion de ces 45 premières minutes avec un joli ballon de Valbuena pour Gignac qui ne pourra enchainer correctement.
A la mi-temps, l'OM mène logiquement et l'entraineur phocéen en profite pour remplacer un Imbula courageux mais affaibli par Benoit Cheyrou. Dès le début de cette deuxième mi-temps, on est pas loin du 2-0 avec un loupé monumental de Mensah dans sa surface, mais Gignac sera trop court. Les actions s'enchainent alors d'un coté comme d'un autre de manière plus ou moins organisé. Il en va de même pour les cartons puisque dans la même minute, Barbosa et Cheyrou prennent chacun un jaune (je parle de carton, pas d'un alcool bien connu !).
Le match continue sur un rythme assez plaisant vu la température et l'horaire absurde. Valbuena confirme une fois encore qu'il est bien le maitre à jouer de l'OM et André Ayew s'effondre dans la surface. Pas de quoi émouvoir monsieur Varela, l'arbitre de la rencontre. Quelques minutes plus tard, double changement pour Evian, avec notamment l'entré de Sougou, l'ex-marseillais. Quand on sait (attention, nouveau poncif) que les joueurs aiment bien marquer contre leurs anciens clubs, ça peut faire peur.
Toujours est-il que sur la pelouse, l'OM domine et fini par doubler la mise à la 67ème grâce à Payet sur un service de Valbuena. Décidemment, le réunionnais fait un début de saison fracassant. Quelques minutes plus tard, il sort sous l'ovation du public. Le jeu devient alors plus décousu de part et d'autres. Sougou fait suer les supportes olympiens après un beau mouvement collectif, mais le ballon fini dans le petit filet extérieur. Quelques minutes plus tard, à la 82ème, André Ayew marque en s'aidant de la main, le but est logiquement refusé.
Dans les dernières minutes, Evian tente de mettre la pression, mais sans vraiment être dangereux. Sougou tente bien une frappe à bout portant, mais elle est repoussée par Mandanda. Finalement, l'OM l'emporte logiquement et reste à hauteur de l'OL. De son coté, Evian aura été trop brouillon, malgré de nombreuses tentatives (18 tirs mais seulement 3 cadrés).
Malgré une domination territoriale des phocéens, les visiteurs s'enhardissent quelque peu et tentent quelques "coups" par l'intermédiaire de Bertoglio ou de Bérigaud. Pas de quoi affoler la défense marseillaise, jusqu'à cette frappe de Benezet à la14ème minute. Heureusement, Mandanda veille et met le ballon en corner. On dit souvent (attention gros poncif à l'horizon) que lorsqu'une équipe rate une occasion pareille, elle prend un but juste derrière. Eh bien ce match va le confirmer puisque 2 minutes plus tard, sur une magnifique ouverture de Fanni, Gignac ouvre le score après un enchainement digne des plus grands (je ne citerais aucun nom, faites votre choix !).
Ce but va libérer des marseillais qui avaient un peu de mal à combiner dans les 30 derniers mètres adverses. De leur coté, les joueurs d'Evian multiplient les fautes et vers la 30ème minute, Imbula est touché à la jambe droite. Son abatage sur la pelouse s'en ressent, le jeune milieu marseillais perdant plusieurs ballons coup sur coup mais semble vouloir rester sur la pelouse. Evian en profite pour sortir de sa torpeur et se réveille dans le dernier ¼ d'heure de cette première mi-temps, en vain. Mieux, c'est l'OM qui se crée la dernière occasion de ces 45 premières minutes avec un joli ballon de Valbuena pour Gignac qui ne pourra enchainer correctement.
A la mi-temps, l'OM mène logiquement et l'entraineur phocéen en profite pour remplacer un Imbula courageux mais affaibli par Benoit Cheyrou. Dès le début de cette deuxième mi-temps, on est pas loin du 2-0 avec un loupé monumental de Mensah dans sa surface, mais Gignac sera trop court. Les actions s'enchainent alors d'un coté comme d'un autre de manière plus ou moins organisé. Il en va de même pour les cartons puisque dans la même minute, Barbosa et Cheyrou prennent chacun un jaune (je parle de carton, pas d'un alcool bien connu !).
Le match continue sur un rythme assez plaisant vu la température et l'horaire absurde. Valbuena confirme une fois encore qu'il est bien le maitre à jouer de l'OM et André Ayew s'effondre dans la surface. Pas de quoi émouvoir monsieur Varela, l'arbitre de la rencontre. Quelques minutes plus tard, double changement pour Evian, avec notamment l'entré de Sougou, l'ex-marseillais. Quand on sait (attention, nouveau poncif) que les joueurs aiment bien marquer contre leurs anciens clubs, ça peut faire peur.
Toujours est-il que sur la pelouse, l'OM domine et fini par doubler la mise à la 67ème grâce à Payet sur un service de Valbuena. Décidemment, le réunionnais fait un début de saison fracassant. Quelques minutes plus tard, il sort sous l'ovation du public. Le jeu devient alors plus décousu de part et d'autres. Sougou fait suer les supportes olympiens après un beau mouvement collectif, mais le ballon fini dans le petit filet extérieur. Quelques minutes plus tard, à la 82ème, André Ayew marque en s'aidant de la main, le but est logiquement refusé.
Dans les dernières minutes, Evian tente de mettre la pression, mais sans vraiment être dangereux. Sougou tente bien une frappe à bout portant, mais elle est repoussée par Mandanda. Finalement, l'OM l'emporte logiquement et reste à hauteur de l'OL. De son coté, Evian aura été trop brouillon, malgré de nombreuses tentatives (18 tirs mais seulement 3 cadrés).