Le Vendredi 01 Mai 2015 par Bab Joo
C'était pas le match du siècle. Face à des Lorrains niveau National, à qui il a en plus été laissé deux ou trois occasions, les Olympiens n'ont pas brillé. Au final, ils rapportent les trois points, c'est l'essentiel, et le buteur Gignac d'une part, le passeur Payet d'autre part, soignent leurs stats, c'est bon pour le moral. Mais fatche, ce fut aussi poussif qu'un karaoké de Céline Dion par Jean-Michel Presque !
Saint Symphorien affiche complet ce soir,pour un à peu-près match de gala : à défaut d'enthousiasme footballistique, on peut au moins toujours compter sur l'engouement populaire autour de l'OM ; face à un relégable, et alors que deux cadres de la défense (Morel, suspendu, Dja Djédjé, blessé) sont absents et que devant, Thauvin n'est même pas sur la liste des dix-huit, c'est déjà ça !
N'empêche que dès le coup d'envoi, les Messins s'emparent du ballon et se crééent une première occasion. Maïga sert Bouna Sarr, qui centre pour Lejeune. Mandanda aussitôt en alerte boxe des deux poings. Les Marseillais n'ont même pas encore aperçu le cuir ! (1ère)
Mais face au FC Metz, même une équipe moins douée que l'OM peut facilement répliquer. Les Phocéens ne se font donc pas prier et combinent avec Gignac, Alessandrini et Ayew. Mais c'est hors cadre. (4ème)
Bien que l'OM prenne possession du ballon et de la moitié de terrain lorraine, il ne se passe quasiment rien d'autre lors de la première période. Si du côté de chez votre servante, on n'avait pas quelques merguez à se mettre sous la dent, on oserait dire que ça manque de piquant !
Pourtant, sur un corner des plus banals* bien tiré par Payet, une mésentente dans la défense messine profite à Gignac qui pivote et frôle le poteau, mais du bon côté.
FCM 0-1 OM (38ème)
APG signe son 100ème but en L1 avant la pause. Pas de quoi pavoiser, mais de quoi se rassurer.
Alors que la pluie redouble sur Saint Symphorien, les hostilités reprennent et les Marseillais semblent revenus sur la pelouse avec davantage d'allant qu'en première période. Insuffisant pour écrabouiller les Lorrains, mais assez pour s'assurer les trois points essentiels de la victoire.
Dans cette seconde période, les Olympiens dominent nettement les débats, mais peinent à concrétiser. C'est finalement sur une situation de contre que les hOMmes de Bielsa débloquent la situation et font le break.
C'est une fois encore Dimitri Payet qui est à l'origine du mouvement et qui assure la passe décisive à André-Pierre Gignac peu après l'heure de jeu.
FCM 0-2 OM (61ème)
Malgré quelques opportunités et aussi, quelques loupés qui auraient pu être dangereux pour les Marseillais, le score en restera là.
Pas le match du siècle, mais trois points opportunistes et qui arrivent au moment opportun pour le club du Vieux-port qui, à défaut d'un titre volé de longue par un arbitrage de merde, se doit jusqu'au bout de se battre pour une place européenne et de préférence, en C1 !
*On dit bien "banals", puisqu'il s'agit d'un adjectif ; "banaux" est le pluriel du substantif ^^
Saint Symphorien affiche complet ce soir,pour un à peu-près match de gala : à défaut d'enthousiasme footballistique, on peut au moins toujours compter sur l'engouement populaire autour de l'OM ; face à un relégable, et alors que deux cadres de la défense (Morel, suspendu, Dja Djédjé, blessé) sont absents et que devant, Thauvin n'est même pas sur la liste des dix-huit, c'est déjà ça !
N'empêche que dès le coup d'envoi, les Messins s'emparent du ballon et se crééent une première occasion. Maïga sert Bouna Sarr, qui centre pour Lejeune. Mandanda aussitôt en alerte boxe des deux poings. Les Marseillais n'ont même pas encore aperçu le cuir ! (1ère)
Mais face au FC Metz, même une équipe moins douée que l'OM peut facilement répliquer. Les Phocéens ne se font donc pas prier et combinent avec Gignac, Alessandrini et Ayew. Mais c'est hors cadre. (4ème)
Bien que l'OM prenne possession du ballon et de la moitié de terrain lorraine, il ne se passe quasiment rien d'autre lors de la première période. Si du côté de chez votre servante, on n'avait pas quelques merguez à se mettre sous la dent, on oserait dire que ça manque de piquant !
Pourtant, sur un corner des plus banals* bien tiré par Payet, une mésentente dans la défense messine profite à Gignac qui pivote et frôle le poteau, mais du bon côté.
FCM 0-1 OM (38ème)
APG signe son 100ème but en L1 avant la pause. Pas de quoi pavoiser, mais de quoi se rassurer.
Alors que la pluie redouble sur Saint Symphorien, les hostilités reprennent et les Marseillais semblent revenus sur la pelouse avec davantage d'allant qu'en première période. Insuffisant pour écrabouiller les Lorrains, mais assez pour s'assurer les trois points essentiels de la victoire.
Dans cette seconde période, les Olympiens dominent nettement les débats, mais peinent à concrétiser. C'est finalement sur une situation de contre que les hOMmes de Bielsa débloquent la situation et font le break.
C'est une fois encore Dimitri Payet qui est à l'origine du mouvement et qui assure la passe décisive à André-Pierre Gignac peu après l'heure de jeu.
FCM 0-2 OM (61ème)
Malgré quelques opportunités et aussi, quelques loupés qui auraient pu être dangereux pour les Marseillais, le score en restera là.
Pas le match du siècle, mais trois points opportunistes et qui arrivent au moment opportun pour le club du Vieux-port qui, à défaut d'un titre volé de longue par un arbitrage de merde, se doit jusqu'au bout de se battre pour une place européenne et de préférence, en C1 !
*On dit bien "banals", puisqu'il s'agit d'un adjectif ; "banaux" est le pluriel du substantif ^^