Le Mercredi 02 Novembre 2016 par Samuel Massilia
Certains supporters marseillais auraient aimé le voir revenir sur le vieux port. Mais celui-ci a mis un terme à sa carrière de footballeur professionnel. Une chose de sûre : nous ne l'oublieront jamais.
(Photo Antares.37)
217 matchs et 100 buts. En cinq ans à l'Olympique de Marseille, Mamadou Niang a marqué les esprits. Révélé à Metz, son talent s'est confirmé à Strasbourg avant d'exploser à l'OM et à cette occasion Mamadou Niang prouvait qu'il pouvait s'imposer dans un grand club à forte pression :"L'ambiance du stade Vélodrome, la ferveur des supporters, tout cela m'a mis en confiance rapidement" se rappelle-t-il.
Après une période d'adaptation, il montre au public Marseillais ses qualités de vélocité, sa vitesse, son adresse devant le but et son sang-froid. Ses hésitations devant le but du début de saison sont oubliées et dès sa première saison au club, il termine meilleur buteur de l'OM avec 10 buts et est finaliste de la coupe de France (battu 2-1 par le PSG) et dès la deuxième saison, il s'imposera comme un leader de l'équipe devenant l'atout numéro 1 en attaque après le départ de Djibril Cissé : "Mamad est un guerrier" raconte son ancien coéquipier de l'époque Souleymane Diawara.
"Il n'a pas besoin de beaucoup d'occasions pour marquer. Il est en plus polyvalent puisqu'il peut jouer à gauche ou dans l'axe. Il a été l'un des éléments forts de nos titres". Des titres qui arrivent, en 2010, avec un doublé coupe-championnat de l'équipe dirigée par Didier Deschamps qui a promu Niang capitaine la même saison après le départ de Lorik Cana. Avec ces deux titres en poche et après cinq ans au club, Mamadou Niang demande à partir. Alors qu'il pouvait espérer signer dans un grand club européen, il prend finalement la direction de la Turquie et de Fenerbahçe.
Il ne retrouvera pas la stabilité qu'il a connue à Marseille puisqu'en quatre ans, il a joué dans trois clubs (Fenerbahçe, Al-Sadd et Besiktas) et en juin 2014 il décide donc de revenir en France du côté d'Arles-Avignon. Pendant qu'à quelques kilomètres de là, André-Pierre Gignac, son successeur à la pointe de l'attaque olympienne, réalise une bonne saison.
Mamadou Niang restera à jamais dans les mémoires des supporters qu'il aura fait vibrer.
(Photo Antares.37)
217 matchs et 100 buts. En cinq ans à l'Olympique de Marseille, Mamadou Niang a marqué les esprits. Révélé à Metz, son talent s'est confirmé à Strasbourg avant d'exploser à l'OM et à cette occasion Mamadou Niang prouvait qu'il pouvait s'imposer dans un grand club à forte pression :"L'ambiance du stade Vélodrome, la ferveur des supporters, tout cela m'a mis en confiance rapidement" se rappelle-t-il.
Après une période d'adaptation, il montre au public Marseillais ses qualités de vélocité, sa vitesse, son adresse devant le but et son sang-froid. Ses hésitations devant le but du début de saison sont oubliées et dès sa première saison au club, il termine meilleur buteur de l'OM avec 10 buts et est finaliste de la coupe de France (battu 2-1 par le PSG) et dès la deuxième saison, il s'imposera comme un leader de l'équipe devenant l'atout numéro 1 en attaque après le départ de Djibril Cissé : "Mamad est un guerrier" raconte son ancien coéquipier de l'époque Souleymane Diawara.
"Il n'a pas besoin de beaucoup d'occasions pour marquer. Il est en plus polyvalent puisqu'il peut jouer à gauche ou dans l'axe. Il a été l'un des éléments forts de nos titres". Des titres qui arrivent, en 2010, avec un doublé coupe-championnat de l'équipe dirigée par Didier Deschamps qui a promu Niang capitaine la même saison après le départ de Lorik Cana. Avec ces deux titres en poche et après cinq ans au club, Mamadou Niang demande à partir. Alors qu'il pouvait espérer signer dans un grand club européen, il prend finalement la direction de la Turquie et de Fenerbahçe.
Il ne retrouvera pas la stabilité qu'il a connue à Marseille puisqu'en quatre ans, il a joué dans trois clubs (Fenerbahçe, Al-Sadd et Besiktas) et en juin 2014 il décide donc de revenir en France du côté d'Arles-Avignon. Pendant qu'à quelques kilomètres de là, André-Pierre Gignac, son successeur à la pointe de l'attaque olympienne, réalise une bonne saison.
Mamadou Niang restera à jamais dans les mémoires des supporters qu'il aura fait vibrer.