Le Mardi 31 Mai 2011 par Bab Joo
On annonçait hier que les frères Ayew ont été une nouvelle fois cambriolés à la faveur de leur déplacement à Caen. Un mal récurrent dont sont régulièrement victimes les joueurs de l'OM, obligés par la force des choses à résider dans un périmètre proche de la cité phocéenne.
On se souvient du home-jacking subi par Lucho Gonzalès il y a deux mois, et de ses funestes conséquences psychologiques : ne cherchons pas plus loin l'effacement du stratège argentin sur le terrain, et son envie grandissante de changer d'air.
Même cause, même punition, Andre Ayew explique à son tour dans les colonnes de la Provence : "Ce n'est pas une première pour nous, mais la deuxième en moins de cinq mois. Ça fait beaucoup. Je ne me sens pas en sécurité et je ne vais pas non plus déménager à chaque fois. Ce n'est pas pour un match de football le dimanche que je vais mettre en danger ma famille. Et je n'ai pas envie de passer mon temps à me demander comment ça se passe chez moi quand je suis en déplacement. [...] Franchement, ça fait peur. Surtout, ça m'amène à réfléchir sur mon avenir à Marseille. Lorsque j'ai appris la nouvelle, j'étais très énervé. Aujourd'hui, il faut que je prenne du recul."
L'angoisse manifestée par Andre Ayew quant à l'idée de rester Marseillais la saison prochaîne et donc, de continuer à exposer sa famille au risque d'un nouveau cambriolage, se conçoit aisément, et explique peut-être pourquoi les dirigeants de l'OM, qui avaient prévu de renégocier le contrat de l'attaquant ghanéen et réévaluer sa clause de départ, actuellement fixée à 13 M€, retardent le moment de discuter le dossier.
On se souvient du home-jacking subi par Lucho Gonzalès il y a deux mois, et de ses funestes conséquences psychologiques : ne cherchons pas plus loin l'effacement du stratège argentin sur le terrain, et son envie grandissante de changer d'air.
Même cause, même punition, Andre Ayew explique à son tour dans les colonnes de la Provence : "Ce n'est pas une première pour nous, mais la deuxième en moins de cinq mois. Ça fait beaucoup. Je ne me sens pas en sécurité et je ne vais pas non plus déménager à chaque fois. Ce n'est pas pour un match de football le dimanche que je vais mettre en danger ma famille. Et je n'ai pas envie de passer mon temps à me demander comment ça se passe chez moi quand je suis en déplacement. [...] Franchement, ça fait peur. Surtout, ça m'amène à réfléchir sur mon avenir à Marseille. Lorsque j'ai appris la nouvelle, j'étais très énervé. Aujourd'hui, il faut que je prenne du recul."
L'angoisse manifestée par Andre Ayew quant à l'idée de rester Marseillais la saison prochaîne et donc, de continuer à exposer sa famille au risque d'un nouveau cambriolage, se conçoit aisément, et explique peut-être pourquoi les dirigeants de l'OM, qui avaient prévu de renégocier le contrat de l'attaquant ghanéen et réévaluer sa clause de départ, actuellement fixée à 13 M€, retardent le moment de discuter le dossier.