Le Vendredi 17 Août 2012 par pyrOMan
Dans un large entretien pour le quotidien L'Equipe, Didier Deschamps, néo-sélectionneur des Bleus, explique son départ de la cité phocéenne. Sans langue de bois...
Le champion du monde 98 explique tout d'abord l'annonce de sa velléité de départ faite aux dirigeants olympiens : "Le jour où j'ai annoncé ma volonté de partir (le 23 mai), j'ai eu en face de moi deux personnes qui m'ont dit qu'elles me comprenaient : le président et l'actionnaire".
Toutefois ce dernier laisse supposer qu'il n'était pas toujours sur la même longueur d'onde avec Vincent Labrune : "On peut avoir des intérêts communs à un moment et des intérêts divergents à un autre. [...] Avec l'actionnaire on s'est parlé, on a échangé. Avec le président, non."
Pour lui, le départ semblait inéluctable : "il s'est passé tellement de choses en interne, au stade. J'étais seul. Seul pendant trois mois à répondre à des obligations médiatiques" . Si bien que le basque en espérait une issue rapide : "J'avais pris les dispositions pour que ça se règle très vite. Pas en pensant à l'équipe de France. Je croyais que Laurent (Blanc) allait continuer. Ma seule préoccupation, c'était de quitter l'OM".
Une dernière saison usante, sur tous les plans : "Franchement quand je me revois... Et pas seulement physiquement. La dernière saison à été très lourde à supporter".
Souhaitons lui une aventure avec les Bleus plus proche de sa première saison avec l'OM que de sa dernière...
Le champion du monde 98 explique tout d'abord l'annonce de sa velléité de départ faite aux dirigeants olympiens : "Le jour où j'ai annoncé ma volonté de partir (le 23 mai), j'ai eu en face de moi deux personnes qui m'ont dit qu'elles me comprenaient : le président et l'actionnaire".
Toutefois ce dernier laisse supposer qu'il n'était pas toujours sur la même longueur d'onde avec Vincent Labrune : "On peut avoir des intérêts communs à un moment et des intérêts divergents à un autre. [...] Avec l'actionnaire on s'est parlé, on a échangé. Avec le président, non."
Pour lui, le départ semblait inéluctable : "il s'est passé tellement de choses en interne, au stade. J'étais seul. Seul pendant trois mois à répondre à des obligations médiatiques" . Si bien que le basque en espérait une issue rapide : "J'avais pris les dispositions pour que ça se règle très vite. Pas en pensant à l'équipe de France. Je croyais que Laurent (Blanc) allait continuer. Ma seule préoccupation, c'était de quitter l'OM".
Une dernière saison usante, sur tous les plans : "Franchement quand je me revois... Et pas seulement physiquement. La dernière saison à été très lourde à supporter".
Souhaitons lui une aventure avec les Bleus plus proche de sa première saison avec l'OM que de sa dernière...