Le Vendredi 07 Novembre 2014 par Bab Joo
A un peu plus de 48 heures du match aller de ce que les media appellent le "classico", les entraîneurs du PSG comme de l'OM doivent composer avec l'absence de plusieurs titulaires indiscutables.
Avec trois suspendus côté marseillais, deux côté parisien, auxquels s'ajoute la gestion du "cas" Ibra, les deux coaches ont en effet fort à faire pour composer un groupe qui tienne la route face à l'Adversaire de la saison.
Fort heureusement, Marcelo Bielsa pourra compter sur Brice Dja Djédjé, de retour de suspension grâce à l'inhabituelle mais néanmoins bienvenue clémence de la Commission de Discipline de la LFP, ainsi que sur Nicolas Nkoulou dont la suspension automatique ne prendra effet que la semaine prochaîne, soit pour la réception des Girondins.
Devant néanmoins faire avec - ou plutôt sans - un absent majeur par ligne (Morel, Romao, Ayew), le coach à la glacière, qui n'aime pas traîner dans la communication de son 11 de départ, est parvenu à proposer une équipe qui semble de taille à affronter les Parisiens, avec une défense à quatre (Mendy, Nkoulou, Fanni, Dja Djédjé) devant qui évolueront Imbula et Lemina.
Payet aura pour tâche d'alimenter en ballons le trio d'attaquants, Thauvin à gauche, Alessandrini à droite, et Gignac en pointe.
Laurent Blanc, quant à lui doit pallier aux absences de Van der Wiel et Thiago Motta.
Toutefois, le coach parisien dispose d'un banc confortablement garni. C'est Serge Aurier qui devrait remplacer le premier, Cabaye qui prendra logiquement la place du second. Deux joueurs habitués à la pression des grandes rencontres, mais qui n'ont pas vraiment convaincu lors de leurs dernières sorties sous le maillot qatari.
Enfin, le "cas" Zlatan Ibrahimovic demeure la grande inconnue. Jouera ? Jouera pas ? Le PSG entretient le flou sur l'état de forme réel de son attaquant-star, qui a cependant repris l'entraînement collectif ce jeudi.
La Zlatanodépendance des Parisiens étant ce qu'elle est, son retour dans le groupe pourrait bien constituer un atout psychologique pour le PSG.
Mais au cas où il serait encore trop juste, c'est encore Edinson Cavani qui le remplacerait. Un Cavani qui n'a certes pas l'aura de son illustre collègue, mais qui, balle au pied, peut faire mal à n'importe quel adversaire.
Avec trois suspendus côté marseillais, deux côté parisien, auxquels s'ajoute la gestion du "cas" Ibra, les deux coaches ont en effet fort à faire pour composer un groupe qui tienne la route face à l'Adversaire de la saison.
Fort heureusement, Marcelo Bielsa pourra compter sur Brice Dja Djédjé, de retour de suspension grâce à l'inhabituelle mais néanmoins bienvenue clémence de la Commission de Discipline de la LFP, ainsi que sur Nicolas Nkoulou dont la suspension automatique ne prendra effet que la semaine prochaîne, soit pour la réception des Girondins.
Devant néanmoins faire avec - ou plutôt sans - un absent majeur par ligne (Morel, Romao, Ayew), le coach à la glacière, qui n'aime pas traîner dans la communication de son 11 de départ, est parvenu à proposer une équipe qui semble de taille à affronter les Parisiens, avec une défense à quatre (Mendy, Nkoulou, Fanni, Dja Djédjé) devant qui évolueront Imbula et Lemina.
Payet aura pour tâche d'alimenter en ballons le trio d'attaquants, Thauvin à gauche, Alessandrini à droite, et Gignac en pointe.
Laurent Blanc, quant à lui doit pallier aux absences de Van der Wiel et Thiago Motta.
Toutefois, le coach parisien dispose d'un banc confortablement garni. C'est Serge Aurier qui devrait remplacer le premier, Cabaye qui prendra logiquement la place du second. Deux joueurs habitués à la pression des grandes rencontres, mais qui n'ont pas vraiment convaincu lors de leurs dernières sorties sous le maillot qatari.
Enfin, le "cas" Zlatan Ibrahimovic demeure la grande inconnue. Jouera ? Jouera pas ? Le PSG entretient le flou sur l'état de forme réel de son attaquant-star, qui a cependant repris l'entraînement collectif ce jeudi.
La Zlatanodépendance des Parisiens étant ce qu'elle est, son retour dans le groupe pourrait bien constituer un atout psychologique pour le PSG.
Mais au cas où il serait encore trop juste, c'est encore Edinson Cavani qui le remplacerait. Un Cavani qui n'a certes pas l'aura de son illustre collègue, mais qui, balle au pied, peut faire mal à n'importe quel adversaire.