Le Mardi 27 Juin 2017 par Ray Monvier
Retour de votre rubrique pas vraiment quotidienne, après quelques jours de vacances. Et aussi parce qu'on a modifié la 2cvLorean, notre machine à ne pas remonter le temps : triple motorisation kérosène-jus de betterave-Pastaga, bas de caisse rouillé de série ! La grande classe sur OMP. A tel point qu'on poste les éphémérides à 13h00...
Se coucher le 26 juin 2017, se lever le 27 juin 2008, jour d'une bien triste nouvelle. Dans quelques heures, nous apprendrons que Franck Fiawoo a rejoint les étoiles, lui qui en fut une sur le terrain.
C'est un beau bébé qui débarque à Marseille en 1965, sous la houlette du Président Leclerc et de Mario Zatelli, alors entraîneur. Doté d'un physique imposant, qui lui vaudra le surnom de "Bulldozer Africain", Franck Fiawoo aidera le club phocéen à remonter en Division 1 (ouais, maintenant c'est la Ligue 1 Conforama, ça pique) à la fin de la saison. En ayant inscrit 7 buts en 15 matchs. Correct.
La saison suivante sera moins prolifique pour l'attaquant togolais, qui n'inscrira que 4 buts en 14 rencontres, et finira par être prêté à Bastia en 1967. Notons qu'il aidera le club bastiais à remonter en Division 1. Spécialité maison.
De retour à l'OM en 1968, il fera partie de la belle épopée en Coupe. Bien qu'il n'ait malheureusement pas disputé la finale, Franck Fiawoo aura à jamais une magnifique ligne sur sa carte de visite : Vainqueur de la Coupe de France 1969 avec l'Olympique de Marseille. Rien que pour cela, Franck, tu mérites bien "l'effet mes rides du jour".
(Afin de justifier le caractère pas vraiment quotidien de cette rubrique, je dois aussi vous dire qu'on fête aujourd'hui les Fernand et Fernande, quand j'y pense je... fais du hand, et nous venons de clore l'épisode #15. Par ailleurs, il fera quelque chose comme 28° sur la belle cité phocéenne avec un léger vent de Sud-Sud-Est rafraichissant l'air).
Se coucher le 26 juin 2017, se lever le 27 juin 2008, jour d'une bien triste nouvelle. Dans quelques heures, nous apprendrons que Franck Fiawoo a rejoint les étoiles, lui qui en fut une sur le terrain.
C'est un beau bébé qui débarque à Marseille en 1965, sous la houlette du Président Leclerc et de Mario Zatelli, alors entraîneur. Doté d'un physique imposant, qui lui vaudra le surnom de "Bulldozer Africain", Franck Fiawoo aidera le club phocéen à remonter en Division 1 (ouais, maintenant c'est la Ligue 1 Conforama, ça pique) à la fin de la saison. En ayant inscrit 7 buts en 15 matchs. Correct.
La saison suivante sera moins prolifique pour l'attaquant togolais, qui n'inscrira que 4 buts en 14 rencontres, et finira par être prêté à Bastia en 1967. Notons qu'il aidera le club bastiais à remonter en Division 1. Spécialité maison.
De retour à l'OM en 1968, il fera partie de la belle épopée en Coupe. Bien qu'il n'ait malheureusement pas disputé la finale, Franck Fiawoo aura à jamais une magnifique ligne sur sa carte de visite : Vainqueur de la Coupe de France 1969 avec l'Olympique de Marseille. Rien que pour cela, Franck, tu mérites bien "l'effet mes rides du jour".
(Afin de justifier le caractère pas vraiment quotidien de cette rubrique, je dois aussi vous dire qu'on fête aujourd'hui les Fernand et Fernande, quand j'y pense je... fais du hand, et nous venons de clore l'épisode #15. Par ailleurs, il fera quelque chose comme 28° sur la belle cité phocéenne avec un léger vent de Sud-Sud-Est rafraichissant l'air).