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La passion anisée
Le Mardi 23 Mars 2004 par Gandalf
Pendant que les un font du ski, les autres préfèrent changer d'entraîneur et se mettre à l'alcool. Tel est le meilleur moyen trouvé par un Boucher pour pouvoir passer de meilleurs jours dans le sud. Le Parrain est parti sans son couteau suisse, et son successeur est arrivée, le bien nommée Anigo le chauve chauvin et peut être divin.
Tout commence bien d'ailleurs pour cet homme et son équipe, qu'il entend mené comme une famille; les joueurs étant comme "ses enfants". Devant les caméras des chaînes télévisées, l'OM de main se mit au diapason et grâce à son ex-Owen Russe gagnait face à Lens un soir de Janvier. La suite est plus ou moins positive, disons modérée.
L'homme reste adulé par le public, par l'aura qu'il semble dégagé. Les états de service de Perrin sur les derniers mois semblent dire aux supporters qu'ils doivent être patient, mais jusqu'à quand, personne ne peut le dire. Mais posons nous tout de même les questions suivantes: Qui est donc Anigo? Qu'a-t-il fait depuis son arrivée? Faudrait il le garder pour la saison prochaine?
Anigo, Homme providentiel, ou simple badaud de passage au sein du banc méditerranéen ? Anigo le chauve, peut être divin, doit son arrivée à l'éviction d'Alain Perrin ancien maître de maison de l'OM. Depuis l'eau a coulé sous les ponts et son bilan se résume en plusieurs points, l'aspect moral mental sur les joueurs, l'aspect technico-tactique, et l'aspect chiffré.
L'on décrit notre alcool comme un père, comme un homme simple chaleureux, qui cherche à créer une émulation au sein de son équipe. Se divertir, jouer avec plaisir serait le mot d'ordre. Au fur et à mesure d'ailleurs, l'équipe semble retrouver de l'allant malgré quelques défaites douloureuses (Sochaux, Bastia, Rennes). On pourrait donc se dire que tout avance pour le mieux, que la méthode faite de pétillant et de champagne semble marcher dans la capitale phocéenne, coeur de l'âme latine. Pour autant, nuançons l'approche par quelques petits problèmes relationnels, comme l'épisode Mido que tout le monde a suivi de manière trop profonde en s'en prenant au joueur, le cantonnant au rôle d'un caractériel insatisfait. Aujourd'hui semble régler les petits pépins entre l'entraîneur et son (ou ses) joueur(s), et avouons nous que l'équipe semble plus joyeuse qu'auparavant, se targuant d'un esprit à toute épreuve.
L'esprit ne fait pourtant pas tout, les joueurs doivent savoir toucher un ballon, dribbler...L'aspect technico-tactique se rapproche ainsi dans l'horizon marseillais. A son arrivée, Anigo rendait à César ce qui lui appartenait, et semblait reprocher à son prédécesseur une équipe sans fond de jeu et sans tactique définie. Mauvaise approche du sujet, car comme le disait Luis Fernandez:"il ne doit pas se plaindre, et tirer le meilleur de l'équipe qu'il possède". Sans se démarquer de ses principes d'Homme à fort tempérament, il avance dans le marais et semble en sortir petit à petit. Là où l'ancienne équipe jouait sur l'aspect physique, la nouvelle mouture joue par petites touches, sur un aspect technique...Pourtant, ces moments de jeu anisé ne durent que peu de temps pour le moment, et reviennent vite les longs ballons sur Drogba. Ajoutons à tout ceci quelques choix douteux, et l'on peut comprendre que cet alcool possède un goût limité en cette heure, sûrement du à une expérience toute aussi limitée.
Que dire de son bilan chiffré, et ne parlons pas de la moyenne anglaise chère à Perrin. A l'heure actuelle, il possède à son actif 4 victoires, 3 nuls et 3 défaites en championnat, ce qui équivaut à 15 points sur 30 possibles. Un bilan chiffré guère plus reluisant que par le passé. Malgré tout, le jeu revient et l'on peut espérer mieux. En coupe Uefa, l'équipe est invaincue pour le moment avec 1 victoire et deux nuls, et est en course pour un quart de finales.
Tout ceci pour dire que l'alcool se prend à petite dose, pour ne point faire d'overdose. Le présent est semé de trous, de petites explosions relationnelles et surtout d'une ambiance retrouvée...Pour ce qui est de savoir si il restera, je ne sais guère quoi répondre si ce n'est que je le trouve limité malgré son âme olympienne et son sang qu'il donnerait pour sauver son club.
Le chauve non divin, moine shaolin à ses heures, devrait tout de même sortir d'autres atouts de ses manches, savoir tirer les erreurs de son prédécesseur ainsi que les siennes pour avancer plus vite. A commencer par Jeudi au stade Vélodrome avec l'accueil de Liverpool. L'anis devra être fort pour endormir l'adversaire, le rendre malade pour mieux le tromper.
Rendez vous donc jeudi soir, en direct du Vélodrome pour ma part pour ce match.
Tout commence bien d'ailleurs pour cet homme et son équipe, qu'il entend mené comme une famille; les joueurs étant comme "ses enfants". Devant les caméras des chaînes télévisées, l'OM de main se mit au diapason et grâce à son ex-Owen Russe gagnait face à Lens un soir de Janvier. La suite est plus ou moins positive, disons modérée.
L'homme reste adulé par le public, par l'aura qu'il semble dégagé. Les états de service de Perrin sur les derniers mois semblent dire aux supporters qu'ils doivent être patient, mais jusqu'à quand, personne ne peut le dire. Mais posons nous tout de même les questions suivantes: Qui est donc Anigo? Qu'a-t-il fait depuis son arrivée? Faudrait il le garder pour la saison prochaine?
Anigo, Homme providentiel, ou simple badaud de passage au sein du banc méditerranéen ? Anigo le chauve, peut être divin, doit son arrivée à l'éviction d'Alain Perrin ancien maître de maison de l'OM. Depuis l'eau a coulé sous les ponts et son bilan se résume en plusieurs points, l'aspect moral mental sur les joueurs, l'aspect technico-tactique, et l'aspect chiffré.
L'on décrit notre alcool comme un père, comme un homme simple chaleureux, qui cherche à créer une émulation au sein de son équipe. Se divertir, jouer avec plaisir serait le mot d'ordre. Au fur et à mesure d'ailleurs, l'équipe semble retrouver de l'allant malgré quelques défaites douloureuses (Sochaux, Bastia, Rennes). On pourrait donc se dire que tout avance pour le mieux, que la méthode faite de pétillant et de champagne semble marcher dans la capitale phocéenne, coeur de l'âme latine. Pour autant, nuançons l'approche par quelques petits problèmes relationnels, comme l'épisode Mido que tout le monde a suivi de manière trop profonde en s'en prenant au joueur, le cantonnant au rôle d'un caractériel insatisfait. Aujourd'hui semble régler les petits pépins entre l'entraîneur et son (ou ses) joueur(s), et avouons nous que l'équipe semble plus joyeuse qu'auparavant, se targuant d'un esprit à toute épreuve.
L'esprit ne fait pourtant pas tout, les joueurs doivent savoir toucher un ballon, dribbler...L'aspect technico-tactique se rapproche ainsi dans l'horizon marseillais. A son arrivée, Anigo rendait à César ce qui lui appartenait, et semblait reprocher à son prédécesseur une équipe sans fond de jeu et sans tactique définie. Mauvaise approche du sujet, car comme le disait Luis Fernandez:"il ne doit pas se plaindre, et tirer le meilleur de l'équipe qu'il possède". Sans se démarquer de ses principes d'Homme à fort tempérament, il avance dans le marais et semble en sortir petit à petit. Là où l'ancienne équipe jouait sur l'aspect physique, la nouvelle mouture joue par petites touches, sur un aspect technique...Pourtant, ces moments de jeu anisé ne durent que peu de temps pour le moment, et reviennent vite les longs ballons sur Drogba. Ajoutons à tout ceci quelques choix douteux, et l'on peut comprendre que cet alcool possède un goût limité en cette heure, sûrement du à une expérience toute aussi limitée.
Que dire de son bilan chiffré, et ne parlons pas de la moyenne anglaise chère à Perrin. A l'heure actuelle, il possède à son actif 4 victoires, 3 nuls et 3 défaites en championnat, ce qui équivaut à 15 points sur 30 possibles. Un bilan chiffré guère plus reluisant que par le passé. Malgré tout, le jeu revient et l'on peut espérer mieux. En coupe Uefa, l'équipe est invaincue pour le moment avec 1 victoire et deux nuls, et est en course pour un quart de finales.
Tout ceci pour dire que l'alcool se prend à petite dose, pour ne point faire d'overdose. Le présent est semé de trous, de petites explosions relationnelles et surtout d'une ambiance retrouvée...Pour ce qui est de savoir si il restera, je ne sais guère quoi répondre si ce n'est que je le trouve limité malgré son âme olympienne et son sang qu'il donnerait pour sauver son club.
Le chauve non divin, moine shaolin à ses heures, devrait tout de même sortir d'autres atouts de ses manches, savoir tirer les erreurs de son prédécesseur ainsi que les siennes pour avancer plus vite. A commencer par Jeudi au stade Vélodrome avec l'accueil de Liverpool. L'anis devra être fort pour endormir l'adversaire, le rendre malade pour mieux le tromper.
Rendez vous donc jeudi soir, en direct du Vélodrome pour ma part pour ce match.
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