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#OMPSG : Super wOMen !
Le Dimanche 19 Mars 2017 par Samuel Massilia
Hier après-midi au stade Roger-Lebert, les féminines de l'Olympique de Marseille ont offert aux 557 supporters présents une victoire face à l'ennemi Parisien (2-0). OhaiMe-Passion.com était présent et vous propose son résumé de l'exploit des Super wOMen dans le 8ème arrondissement de la cité Phocéenne.
Deux heures avant le coup d'envoi, le temps de trouver une place dans un périmètre réduit, nous pouvons déjà apercevoir l'arrivée du car du PSG. Encore trop peu nombreux pour les recevoir « à la Marseillaise » même si nous avions eu l'impression qu'il n'y avait aucune rivalité entre les deux clubs.
Une fois entrés dans la mini-enceinte de l'avenue Jules Rimet, la buvette était l'un des passages obligatoires avant de se placer. Un moment de partage entre supporters, le nul des hommes à Lille, le football féminin mais pas que... à Marseille on parle de tout avec tout le monde. Et sous un froid assez glacial, le temps est passé vite jusqu'à l'arrivée des Olympiennes pour l'échauffement.
Les Olympiennes à l'échauffement
L'ambiance commença à chauffer. Tambours, drapeaux, fumigènes (non, j'exagère un peu) seront de la partie pour animer une tribune réunie de différentes classes sociales. Mais cela importe peu, un match de football c'est ENSEMBLE jusqu'au bout. Hier à Lebert, s'en était la preuve exacte.
Habitués du Vélodrome, nous avons pu remarquer que les Phocéennes ne jouent pas dans un stade configuré. Effectivement, aucun speaker n'est présent pour présenter les deux formations, aucune animation musicale ainsi que le manque d'un tableau d'affichage. Elles sont en première division, nous ne comprenons toujours pas pourquoi elles n'évoluent pas au Stade Vélodrome. Espérons que Zubizaretta, présent hier, ait noté les améliorations à apporter dans cette enceinte.
Les deux formations s'apprêtent à rentrer sur la pelouse
14h30. Coup d'envoi du match. Un début de rencontre très compliqué face à des Parisiennes qui ont pris le contrôle du ballon. Après avoir laissé passer l'orage, les Super wOMen vont revenir dans le match avec un coup franc de Caroline Pizzala, en vain. L'intensité augmente, les supporters motivent les féminines mais les joueuses de la capitale défendent bien, tout comme les Olympiennes qui ne subissent pas.
À la demi-heure de jeu, Viviane Asseyi rate de peu le cadre sur un coup franc de la jeune Tess Laplacette. Sur les assauts des joueuses de Patrice Lair, la gardienne Pauline Peyraud-Magnin a assuré à chacune de ses interventions. La mi-temps est sifflée au stade Roger Lebert, les premières impressions sont plutôt bonnes à la pause. On peut entendre de l'espoir « Les Parisiennes sont à notre portée » et d'autres sont plus dans le doute : « À ce rythme-là, elles finiront par craquer ». Je vous rassure, OMP y croyait !
La deuxième période démarrera comme la première, physiquement les Olympiennes sont en dessous et permettent à leur adversaire d'exploiter leur jeu. Le rythme stagnera jusqu'à la 62ème minute. Sur une bourde de la défense parisienne, Sara Yüceil ouvre le score et délivre les 557 supporters.
Forcément, l'ambiance monte de plus en plus et appelle au soutien « Allez les Filles, on ne lâche rien ! » Et elles n'auront pas cédé, un quart d'heure après le premier but, les phocéennes obtiennent un coup franc. L'attaquante Sandrine Bretigny s'en charge et nous fait nous soulever comme un seul homme. 2-0 à vingt minutes de la fin, la fête ne pouvait qu'être belle.
Une pression s'installe, celle de voir les parisiennes revenir dans ce match et briser notre bel après-midi. Mais c'est sans compter sur la forte mentalité de nos féminines. Au coup de sifflet final d'Élodie Coppola, la joie s'empare.
Les Super wOMen fêtent ce succès avec nous, une communion entre joueuses et supporters. Ensemble, nous l'avons fait. Battre le PSG pour redorer le blason de notre Olympique Magnifique.
Deux heures avant le coup d'envoi, le temps de trouver une place dans un périmètre réduit, nous pouvons déjà apercevoir l'arrivée du car du PSG. Encore trop peu nombreux pour les recevoir « à la Marseillaise » même si nous avions eu l'impression qu'il n'y avait aucune rivalité entre les deux clubs.
Une fois entrés dans la mini-enceinte de l'avenue Jules Rimet, la buvette était l'un des passages obligatoires avant de se placer. Un moment de partage entre supporters, le nul des hommes à Lille, le football féminin mais pas que... à Marseille on parle de tout avec tout le monde. Et sous un froid assez glacial, le temps est passé vite jusqu'à l'arrivée des Olympiennes pour l'échauffement.
Les Olympiennes à l'échauffement
L'ambiance commença à chauffer. Tambours, drapeaux, fumigènes (non, j'exagère un peu) seront de la partie pour animer une tribune réunie de différentes classes sociales. Mais cela importe peu, un match de football c'est ENSEMBLE jusqu'au bout. Hier à Lebert, s'en était la preuve exacte.
Habitués du Vélodrome, nous avons pu remarquer que les Phocéennes ne jouent pas dans un stade configuré. Effectivement, aucun speaker n'est présent pour présenter les deux formations, aucune animation musicale ainsi que le manque d'un tableau d'affichage. Elles sont en première division, nous ne comprenons toujours pas pourquoi elles n'évoluent pas au Stade Vélodrome. Espérons que Zubizaretta, présent hier, ait noté les améliorations à apporter dans cette enceinte.
Les deux formations s'apprêtent à rentrer sur la pelouse
14h30. Coup d'envoi du match. Un début de rencontre très compliqué face à des Parisiennes qui ont pris le contrôle du ballon. Après avoir laissé passer l'orage, les Super wOMen vont revenir dans le match avec un coup franc de Caroline Pizzala, en vain. L'intensité augmente, les supporters motivent les féminines mais les joueuses de la capitale défendent bien, tout comme les Olympiennes qui ne subissent pas.
À la demi-heure de jeu, Viviane Asseyi rate de peu le cadre sur un coup franc de la jeune Tess Laplacette. Sur les assauts des joueuses de Patrice Lair, la gardienne Pauline Peyraud-Magnin a assuré à chacune de ses interventions. La mi-temps est sifflée au stade Roger Lebert, les premières impressions sont plutôt bonnes à la pause. On peut entendre de l'espoir « Les Parisiennes sont à notre portée » et d'autres sont plus dans le doute : « À ce rythme-là, elles finiront par craquer ». Je vous rassure, OMP y croyait !
La deuxième période démarrera comme la première, physiquement les Olympiennes sont en dessous et permettent à leur adversaire d'exploiter leur jeu. Le rythme stagnera jusqu'à la 62ème minute. Sur une bourde de la défense parisienne, Sara Yüceil ouvre le score et délivre les 557 supporters.
Forcément, l'ambiance monte de plus en plus et appelle au soutien « Allez les Filles, on ne lâche rien ! » Et elles n'auront pas cédé, un quart d'heure après le premier but, les phocéennes obtiennent un coup franc. L'attaquante Sandrine Bretigny s'en charge et nous fait nous soulever comme un seul homme. 2-0 à vingt minutes de la fin, la fête ne pouvait qu'être belle.
Une pression s'installe, celle de voir les parisiennes revenir dans ce match et briser notre bel après-midi. Mais c'est sans compter sur la forte mentalité de nos féminines. Au coup de sifflet final d'Élodie Coppola, la joie s'empare.
Les Super wOMen fêtent ce succès avec nous, une communion entre joueuses et supporters. Ensemble, nous l'avons fait. Battre le PSG pour redorer le blason de notre Olympique Magnifique.
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