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#Rétro : Dragan Stojkovic, alias Pixie !
Le Vendredi 28 Avril 2017 par Samuel Massilia
Après Chris Waddle et Enzo Francescoli, Bernard Tapie souhaite de nouveau s'offrir un artiste de renom. Il jette alors son dévolu sur un jeune Yougoslave qui a littéralement explosé lors du Mondial 90 : Dragan Stojkovic.
Pensionnaire de l'Étoile Rouge de Belgrade, il signe à Marseille pour un transfert-record pour l'époque. Le natif de Nis est perçu comme le meilleur numéro dix du monde. L'artiste dispose en effet d'une somptueuse palette : dribbles, vision du jeu, précision dans les passes, gestes techniques, coup d'oeil.
L'international est un meneur d'hommes doté d'un caractère bien remué et d'un mental de guerrier. Bref, il semble taillé pour l'OM. Avec de telles qualités , il ne peut que faire des étincelles du côté de la Canebière.
Son passage à Marseille sera pourtant plus compliqué que prévu. Celui que l'on surnomme « Pixie », en référence au personnage de la souris de « Tom et Jerry », va très vite déchanter en se blessant en début de saison. Opéré d'une fracture du cartilage à la rotule du genou gauche, il ne compte qu'une dizaine d'apparitions à l'OM.
Il est par la suite prêté au Hellas Vérone (Italie). Après deux saisons passées sous le soleil transalpin, il retrouve Marseille au cours de l'été 1993. Mais la malchance le poursuit. Il se blesse de nouveau (usure de la malléole interne du genou droit). Il quitte alors définitivement l'OM et l'Europe pour terminer sa carrière au Japon.
Avec Nagoya, « Pixie » est vice-champion du Japon (1996), finaliste de la Supercoupe (2000) et vainqueur de la Coupe Nationale (1999). Pourtant, en dépit de ses rares apparitions sous le maillot blanc, le public olympien l'a toujours admiré et chéri.
Sa présence au sein de la dream-team des supporters (en 2009) en est la parfaite illustration.
Pensionnaire de l'Étoile Rouge de Belgrade, il signe à Marseille pour un transfert-record pour l'époque. Le natif de Nis est perçu comme le meilleur numéro dix du monde. L'artiste dispose en effet d'une somptueuse palette : dribbles, vision du jeu, précision dans les passes, gestes techniques, coup d'oeil.
L'international est un meneur d'hommes doté d'un caractère bien remué et d'un mental de guerrier. Bref, il semble taillé pour l'OM. Avec de telles qualités , il ne peut que faire des étincelles du côté de la Canebière.
Son passage à Marseille sera pourtant plus compliqué que prévu. Celui que l'on surnomme « Pixie », en référence au personnage de la souris de « Tom et Jerry », va très vite déchanter en se blessant en début de saison. Opéré d'une fracture du cartilage à la rotule du genou gauche, il ne compte qu'une dizaine d'apparitions à l'OM.
Il est par la suite prêté au Hellas Vérone (Italie). Après deux saisons passées sous le soleil transalpin, il retrouve Marseille au cours de l'été 1993. Mais la malchance le poursuit. Il se blesse de nouveau (usure de la malléole interne du genou droit). Il quitte alors définitivement l'OM et l'Europe pour terminer sa carrière au Japon.
Avec Nagoya, « Pixie » est vice-champion du Japon (1996), finaliste de la Supercoupe (2000) et vainqueur de la Coupe Nationale (1999). Pourtant, en dépit de ses rares apparitions sous le maillot blanc, le public olympien l'a toujours admiré et chéri.
Sa présence au sein de la dream-team des supporters (en 2009) en est la parfaite illustration.
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