Actualité
Bordeaux 1-1 OM
La demi-volée de Mike B.
Le Lundi 15 Mai 2017 par Mike B
Avant le match, on pouvait s'entendre sur le fait qu'un résultat nul pourrait être une bonne affaire. L'Olympique de Marseille reste 5ème, à 1 point devant son adversaire Girondin, et n'aura plus qu'à remporter l'ultime rencontre face à des Bastiais en difficulté pour arracher une place en coupe d'Europe. Mais le contexte d'un match qui était amplement a la porté des phocéens fait qu'on ne peut se satisfaire du résultat.
Il n'aura pas fallu plus de 2 minutes de jeu pour que, déjà, Clément Turpin fasse parler de lui, ignorant son collègue levant son drapeau et confirmant aux marseillais une faute, qui eux, comme des U11, s'arrêtent de jouer. Bordeaux ouvre le score. Premier scandale. La suite, les joueurs vont la conter.
Yohann Pelé - 8 : “OH OUI IL L'A SORT ! L'ANGE S'EST ENVOLÉ !” La grande gigue à plumes aura sauvé le point du match nul ! Sans oublier la première partie de saison très compliquée qu'il aura aidé à nous faire vivre, personne ne peut nier que depuis que les noms circulent pour sa succession, il enchaîne les bonnes prestations. Il sera décisif jusque dans les ultimes secondes et cette parade main opposée après une superbe frappe enroulée d'Ounas.
Tomàs Hubocan - 4 : Titularisé pour palier à la suspension de Sakaï, la Slovaque aura été à la peine. En grande difficulté, il aura pourtant selon le big boss Garcia “montré de belles choses”... Sans doutes son impact physique qui tranche sec avec celui du titulaire habituel.
Rod Fanni - 5,5 : La légende raconte qu'on l'aurait vu défendre à Bergerac en première période, et à Arcachon en seconde tellement il avait du mal à aller vers l'avant. Défendre en avançant est un principe que notre tracteur favori à préféré ne pas mettre en pratique. Il aurait même été capable de couvrir un hors-jeu de Gomis si il avait été Bordelais, c'est dire.
Jorge Pires Rolando - 5,5 : Sobre sans faire trop d'étincelles, il a calmé les espoirs bordelais en fin de rencontre par plusieurs interventions bien senties.
Patrice Evra - 6 : Une partie solide, même si peu aidé par le travail défensif moins intense de Payet, avec même de bons ballons offensifs, comme ce centre sur Bafé qui lance une belle volée stoppée par le portier girondin. Il sortira après qu'on l'ai contemplé cracher sa bile, gastro oblige semblerait-il. On se sera posé la question, mais ce n'avait donc rien à voir avec une éventuelle débauche d'énergie d'une folle intensité. On comprends mieux, surtout quand les deux ballons d'or à contenir se nomment Sankharé ou Kamano. On ne remercie d'ailleurs jamais assez Jean-Jacques Amsellem pour ces belles images. Merci.
William Vainqueur - 6 : C'est la 91ème minute, l'Olympique pousse jusqu'à se frayer un chemin dans la surface bordelaise... William Vainqueur, seul au "point de Lacazette", contrôle un ballon lui venant de la droite... Le silence se fait, le temps se suspend, les jambes de Turpin flageolent, le stade est accroché à ce que pourrait être l'issu d'une frappe à venir. C'est là que le milieu défensif se souvient de ce doux chant entonné dans tous les stades de France le dimanche après-midi, ce même chant qui fait l'essence du “football plaisir”, où la bière emplit les gourdes, ce fameux “PLAT DU PIED SÉCURITÉ”. La frappe s'élève, et finira sa course derrière la dune du Pilat.
Morgan Sanson - 5 : Le box-to-box qui ne sait pas tirer. Dommage. Faites des jeux devant les bois avec Gomis et Vainqueur. Y'aurait de quoi se marrer. Pensez que dans les stades on a des enfants, des vétérans, parfois même des femmes enceinte. Des supporters qui ne sont pas prêts à se faire ouvrir l'arcade par une balle perdue.
Maxime Lopez - 5 : Comme souvent à l'extérieur, il a manqué de piquant dans l'entrejeu. Mais aussi 70% de ses transmissions. Un match compliqué mais avec l'envie de faire le job.
Florian Thauvin - 7 : Un peu effacé en première période, comme l'ensemble de la formation marseillaise, c'est bien lui qui délivrera les siens en offrant sur un plateau d'argent un nouveau caviar à Gomis (60e). Cette saison c'est 15 buts et 9 passes décisives. Boom.
Dimitri Payet - 6 : Sa frappe de 30 mètres qui vient se fracasser sur la transversale de Carrasso aurait mérité un meilleur sort. Sans cesse en mouvement et perçant le milieu de terrain girondin, il n'aura pas réussi à concrétiser une de ses jolies actions. Privilégiant le dribble en pleine surface plutôt que la frappe. Une fois devant le but, Payet c'est Moukandjo.
Bafétimbi Gomis - 6 : Un nouveau pion qui viendra gonfler ses statistiques. Mettez-nous un vrai buteur à sa place, et c'est pas 19 buts qu'il plantera, mais 35 ! Si on doit le résumer en une action, c'est celle-ci . Bafétimbi Go & miss (Va & manque).
Henri Bédimo - NN : Il remplace Evra et se sera bien appliqué dans son couloir.
André-Frank Zambo-Anguissa - NN : Il vient densifier le milieu de terrain à la place de Lopez (75e), pour permettre sans doutes à ses coéquipiers devant lui de forcer un peu plus sur la défense de Bordeaux.
Matheus Doria - NN : Si l'entrée de Zambo peut donc s'expliquer de cette manière, mais pourquoi diable est-ce que Rudi Garcia fait rentrer Doria à la place de Payet. Nous nous serions donc fourvoyé ? Le coach de l'Olympique de Marseille jouera donc le match nul. En “blindant” sa défense avec, récapitulons : Hubocan, Fanni, Rolando, Doria, Bédimo... C'est un miracle que de ne pas rentrer à Marseille à la 6ème place.
Rudi Garcia - 6 : Il fait plaisir en titularisant Hubocan dans le couloir droit, et sa composition d'équipe est logique pour cette petite “finale”. Des choix douteux en fin de rencontre qui auraient pu nous coûter cher. HEUREUSEMENT, que le score ne bouge pas, sinon c'était un 2.
Les Olympiens ont finalement leur destin, et le nôtre, entre leurs mains. Il faudra s'imposer face à Bastia samedi soir pour être assuré de terminer cette saison à la 5ème place, ce qui serait une performance louable après un début de saison calamiteux.
Soyons nombreux pour la der', brisons-nous la voix pour l'Olympique ! C'est nous, l'armée des marseillais !
La bise et un jaune !
Il n'aura pas fallu plus de 2 minutes de jeu pour que, déjà, Clément Turpin fasse parler de lui, ignorant son collègue levant son drapeau et confirmant aux marseillais une faute, qui eux, comme des U11, s'arrêtent de jouer. Bordeaux ouvre le score. Premier scandale. La suite, les joueurs vont la conter.
Yohann Pelé - 8 : “OH OUI IL L'A SORT ! L'ANGE S'EST ENVOLÉ !” La grande gigue à plumes aura sauvé le point du match nul ! Sans oublier la première partie de saison très compliquée qu'il aura aidé à nous faire vivre, personne ne peut nier que depuis que les noms circulent pour sa succession, il enchaîne les bonnes prestations. Il sera décisif jusque dans les ultimes secondes et cette parade main opposée après une superbe frappe enroulée d'Ounas.
Tomàs Hubocan - 4 : Titularisé pour palier à la suspension de Sakaï, la Slovaque aura été à la peine. En grande difficulté, il aura pourtant selon le big boss Garcia “montré de belles choses”... Sans doutes son impact physique qui tranche sec avec celui du titulaire habituel.
Rod Fanni - 5,5 : La légende raconte qu'on l'aurait vu défendre à Bergerac en première période, et à Arcachon en seconde tellement il avait du mal à aller vers l'avant. Défendre en avançant est un principe que notre tracteur favori à préféré ne pas mettre en pratique. Il aurait même été capable de couvrir un hors-jeu de Gomis si il avait été Bordelais, c'est dire.
Jorge Pires Rolando - 5,5 : Sobre sans faire trop d'étincelles, il a calmé les espoirs bordelais en fin de rencontre par plusieurs interventions bien senties.
Patrice Evra - 6 : Une partie solide, même si peu aidé par le travail défensif moins intense de Payet, avec même de bons ballons offensifs, comme ce centre sur Bafé qui lance une belle volée stoppée par le portier girondin. Il sortira après qu'on l'ai contemplé cracher sa bile, gastro oblige semblerait-il. On se sera posé la question, mais ce n'avait donc rien à voir avec une éventuelle débauche d'énergie d'une folle intensité. On comprends mieux, surtout quand les deux ballons d'or à contenir se nomment Sankharé ou Kamano. On ne remercie d'ailleurs jamais assez Jean-Jacques Amsellem pour ces belles images. Merci.
William Vainqueur - 6 : C'est la 91ème minute, l'Olympique pousse jusqu'à se frayer un chemin dans la surface bordelaise... William Vainqueur, seul au "point de Lacazette", contrôle un ballon lui venant de la droite... Le silence se fait, le temps se suspend, les jambes de Turpin flageolent, le stade est accroché à ce que pourrait être l'issu d'une frappe à venir. C'est là que le milieu défensif se souvient de ce doux chant entonné dans tous les stades de France le dimanche après-midi, ce même chant qui fait l'essence du “football plaisir”, où la bière emplit les gourdes, ce fameux “PLAT DU PIED SÉCURITÉ”. La frappe s'élève, et finira sa course derrière la dune du Pilat.
Morgan Sanson - 5 : Le box-to-box qui ne sait pas tirer. Dommage. Faites des jeux devant les bois avec Gomis et Vainqueur. Y'aurait de quoi se marrer. Pensez que dans les stades on a des enfants, des vétérans, parfois même des femmes enceinte. Des supporters qui ne sont pas prêts à se faire ouvrir l'arcade par une balle perdue.
Maxime Lopez - 5 : Comme souvent à l'extérieur, il a manqué de piquant dans l'entrejeu. Mais aussi 70% de ses transmissions. Un match compliqué mais avec l'envie de faire le job.
Florian Thauvin - 7 : Un peu effacé en première période, comme l'ensemble de la formation marseillaise, c'est bien lui qui délivrera les siens en offrant sur un plateau d'argent un nouveau caviar à Gomis (60e). Cette saison c'est 15 buts et 9 passes décisives. Boom.
Dimitri Payet - 6 : Sa frappe de 30 mètres qui vient se fracasser sur la transversale de Carrasso aurait mérité un meilleur sort. Sans cesse en mouvement et perçant le milieu de terrain girondin, il n'aura pas réussi à concrétiser une de ses jolies actions. Privilégiant le dribble en pleine surface plutôt que la frappe. Une fois devant le but, Payet c'est Moukandjo.
Bafétimbi Gomis - 6 : Un nouveau pion qui viendra gonfler ses statistiques. Mettez-nous un vrai buteur à sa place, et c'est pas 19 buts qu'il plantera, mais 35 ! Si on doit le résumer en une action, c'est celle-ci . Bafétimbi Go & miss (Va & manque).
Henri Bédimo - NN : Il remplace Evra et se sera bien appliqué dans son couloir.
André-Frank Zambo-Anguissa - NN : Il vient densifier le milieu de terrain à la place de Lopez (75e), pour permettre sans doutes à ses coéquipiers devant lui de forcer un peu plus sur la défense de Bordeaux.
Matheus Doria - NN : Si l'entrée de Zambo peut donc s'expliquer de cette manière, mais pourquoi diable est-ce que Rudi Garcia fait rentrer Doria à la place de Payet. Nous nous serions donc fourvoyé ? Le coach de l'Olympique de Marseille jouera donc le match nul. En “blindant” sa défense avec, récapitulons : Hubocan, Fanni, Rolando, Doria, Bédimo... C'est un miracle que de ne pas rentrer à Marseille à la 6ème place.
Rudi Garcia - 6 : Il fait plaisir en titularisant Hubocan dans le couloir droit, et sa composition d'équipe est logique pour cette petite “finale”. Des choix douteux en fin de rencontre qui auraient pu nous coûter cher. HEUREUSEMENT, que le score ne bouge pas, sinon c'était un 2.
Les Olympiens ont finalement leur destin, et le nôtre, entre leurs mains. Il faudra s'imposer face à Bastia samedi soir pour être assuré de terminer cette saison à la 5ème place, ce qui serait une performance louable après un début de saison calamiteux.
Soyons nombreux pour la der', brisons-nous la voix pour l'Olympique ! C'est nous, l'armée des marseillais !
La bise et un jaune !
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La rencontre
1-1
Bordeaux - Marseille
Dim 14/05 à 21H00/2017
Feuille de match - Historique
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