Le Dimanche 18 Avril 2010 par Ray Flex
Il reste à peine une brouette de secondes quand... l'impensable se produit ! Lachor, fautif d'un geste dans la surface, se voit signifier la sanction suprême. Surtout à cet instant. Boulogne méritait peut-être mieux dans ce match chiant comme la mort. Mais où passe l'OM, l'homme trépasse. Et c'est en patron que les Sudistes partent du Nord sans l'avoir perdu. Le Nord, pour le cas où t'aies posé ton cerveau sur la table avant d'me lire... Ou pas.
Toujours est-il qu'au terme d'une première mi-temps sponsorisée par Derrick, l'action du téléfilm en moins, ce sont bel et bien les Olympiens qui rentrent aux vestiaires avec un certain avantage. Oh, pas dans le jeu hein, mais au tableau d'affichage. C'est déjà ça. Pourquoi se plaindre d'un but de Mathieu Valbuena, qui plus est servi sur un gâteau d'argent par l'inusable Mamadou Niang au terme d'un superbe jeu en triangle avec Lucho Gonzalez. Bedenik et Boulogne sont au sol (USBCO 0-1 OM, 44ème).
La seconde période excelle dans l'imitation de la plante verte, et on semble s'acheminer vers cette petite mais ô combien précieuse victoire lorsque Blayac fusille Steve Mandanda à bout portant. Le cuir claque le filet, l'OM est à genoux... (USBCO 1-1 OM, 84ème).
Et puis, cher lecteur atrophié du bulbe, arrive donc cette fameuse 93ème minute... Brandao dévie de la tête un ballon qui file sur le bras de Lachor. Intention ou non, bras décollé ou pas ? Sincèrement ? Dur pour nos amis Boulonnais. Pascal Viléo a pris sa décision et désigne le point de pénalty...
Taye Taïwo place le cuir, et cherche un nouvel élan. C'est à dire qu'il a trouvé la femelle alors si vous aviez à tout hasard... Bref, il s'élance le Golgoth ! Et délivre tout un peuple d'un tir qui ne laisse aucune chance au portier Boulonnais (USBCO 1-2 OM, 90+4).
Compte-tenu des résultats enregistrés samedi, à savoir la victoire d'Auxerre aux dépens du Mans (4-1) et le nul entre Lyon et Bordeaux (2-2), l'équipe de Didier Deschamps a fait un grand pas vers ce titre tant attendu. Mais au même titre qu'il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain en période délicate, il ne faut pas s'enflammer. Même si...
Toujours est-il qu'au terme d'une première mi-temps sponsorisée par Derrick, l'action du téléfilm en moins, ce sont bel et bien les Olympiens qui rentrent aux vestiaires avec un certain avantage. Oh, pas dans le jeu hein, mais au tableau d'affichage. C'est déjà ça. Pourquoi se plaindre d'un but de Mathieu Valbuena, qui plus est servi sur un gâteau d'argent par l'inusable Mamadou Niang au terme d'un superbe jeu en triangle avec Lucho Gonzalez. Bedenik et Boulogne sont au sol (USBCO 0-1 OM, 44ème).
La seconde période excelle dans l'imitation de la plante verte, et on semble s'acheminer vers cette petite mais ô combien précieuse victoire lorsque Blayac fusille Steve Mandanda à bout portant. Le cuir claque le filet, l'OM est à genoux... (USBCO 1-1 OM, 84ème).
Et puis, cher lecteur atrophié du bulbe, arrive donc cette fameuse 93ème minute... Brandao dévie de la tête un ballon qui file sur le bras de Lachor. Intention ou non, bras décollé ou pas ? Sincèrement ? Dur pour nos amis Boulonnais. Pascal Viléo a pris sa décision et désigne le point de pénalty...
Taye Taïwo place le cuir, et cherche un nouvel élan. C'est à dire qu'il a trouvé la femelle alors si vous aviez à tout hasard... Bref, il s'élance le Golgoth ! Et délivre tout un peuple d'un tir qui ne laisse aucune chance au portier Boulonnais (USBCO 1-2 OM, 90+4).
Compte-tenu des résultats enregistrés samedi, à savoir la victoire d'Auxerre aux dépens du Mans (4-1) et le nul entre Lyon et Bordeaux (2-2), l'équipe de Didier Deschamps a fait un grand pas vers ce titre tant attendu. Mais au même titre qu'il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain en période délicate, il ne faut pas s'enflammer. Même si...