Le Samedi 01 Octobre 2011 par pyrOMan
Et si jouer à domicile n'était plus un obstacle pour l'OM ? Et s'il redevenait enfin cette enceinte imprenable des années 1990 ? Etant dans un pays libre, on a le droit de rêver après tout.
Effectivement, depuis l'ère Deschamps, l'Olympique de marseille connaît un réel mal à domicile prenant ainsi environ la moitié de ses points à l'extérieur, inconcevable pour un club de la trempe de l'OM, pour un club qui possède le meilleur public de France. Et cette saison semblait s'inspirer des précédentes.
Ainsi, lors de la première journée de championnat, suite à un relâchement impardonnable, les joueurs phocéens après avoir mené 2-0 allaient laisser les lionçaux leur revenir à hauteur (2-2). Deux journées plus tard c'était au tour de Saint-Etienne de venir se frotter aux marseillais, et pour cette rencontre Deschamps avait semble-t-il trouvé la clé... de l'ennui en décidant de bétonner derrière. Bilan : un score nul et vierge qui n'arrangeait personne. Enfin, gardons le meilleur (ou le pire c'est selon) pour la fin, pour la cinquième journée de L1, l'OM reçoit Rennes et au terme d'un match globalement dominé, les Rennais, par l'intermédiaire de Kembo mon Coco allaient porter le coup de grâce dans le dernier quart d'heure pour ainsi boucler la boucle d'un bilan catastrophique de nos phocéens au Vélodrome : 2 nuls et une défaite.
Cependant cette défaite n'a sans doute pas eu que des pouvoirs maléfiques, elle a peut-être un peu réveillé des marseillais apathiques qui en avaient bien besoin, et depuis, le bilan est bien meilleur au Vélodrome. Enfin bien meilleur, on est marseillais hein, on a l'habitude d'aller un peu vite en besogne mais c'est ce qui fait notre charme aussi non ? Bref, un bilan bien plus positif donc - après cette tarte (ou dévrais-je plutôt dire crêpe) rennaise - avec deux victoires en autant de rencontres (on parle toutes compétitions confondues, on est des fous). Des succès pas forcément splendides dans le jeu que ce soit face à Evian (2-0) ou face à Dortmund en Ligue des Champions ce mercredi (3-0) mais qui font un bien fou, que ce soit sur le plan comptable ou mental.
Mis à part la victoire, les autres aspects intéressants de la baffe infligée à Dortmund cette semaine, sont le réalisme, la réussite, la chance qui nous faisaient tant défaut auparavant.
Car si d'habitude c'est bien l'OM qui encaisse des buts évitables suite à de mauvais placements, un manque de concentration, etc... l'OM semble avoir trouvé la recette miracle pour vaincre le signe indien et ainsi infliger aux autres ce dont il a été trop souvent victime. Bref, sur cette rencontre de mercredi, si tout n'est pas parfait, loin de là, il y a des progrès notables. De bon augure avant la rencontre de demain face à Brest.
Tiens, venons y justement à cette rencontre, Didier Deschamps bénéficie du retour de Cheyrou dans le groupe alors que concernant Gignac ce ne sera pas encore pour cette fois... On s'attend à une équipe quasi similaire à celle victorieuse face au champion d'Allemagne (3-0). En l'absence de Fanni qui est encore à la recherche d'un cerveau sur E-Bay, Azpi devrait occuper le poste de latéral droit, son penchant à gauche étant sans aucun doute Morel (Traoré est blessé qui plus est). Dans l'axe, la paire Diawara-Nkoulou commence à trouver ses marques, mais c'est bien dans l'entre-jeu qu'il y a le plus d'interrogations. Deschamps jouera-t-il avec deux tours de contrôle et un meneur de jeu comme face à Dortmund par exemple ? Ou alors, au vu de la faiblesse théorique de l'adversaire, préférera-t-il jouer avec son 4-3-3 plus habituel ? Ces choix de système devraient influer sur la feuille de match. Ainsi dans le premier cas, Cheyrou resterait peut être sur le banc, alors que Kaboré et Diarra auraient le rôle de sentinelle avec Lucho devant en 10. Dans le second, c'est Kaboré qui devrait faire les frais du retour de Cheyrou, on pourrait ainsi immaginer un milieu habituel : Diarra, Cheyrou et Lucho. Devant, à priori rien de nouvau sous les tropiques, André Ayew, Rémy et Valbuena semblent tenir la corde.
Face à eux les olympiens affronteront donc un club breton en plein doute, 18ème de L1 et qui n'a encore jamais gagné à l'extérieur (2 nuls, 2 défaites).
Le club du nord ouest de la France n'a également jamais gagné au Vélodrome (7 défaites, 1 nul).
L'occasion rêvée pour l'OM de remporter une vctoire au combien précieuse pour remonter au plus vite au classement. Et puis comme le dit le dicton, "jamais deux sans trois", on ne peut donc réellement pas perdre !
Effectivement, depuis l'ère Deschamps, l'Olympique de marseille connaît un réel mal à domicile prenant ainsi environ la moitié de ses points à l'extérieur, inconcevable pour un club de la trempe de l'OM, pour un club qui possède le meilleur public de France. Et cette saison semblait s'inspirer des précédentes.
Ainsi, lors de la première journée de championnat, suite à un relâchement impardonnable, les joueurs phocéens après avoir mené 2-0 allaient laisser les lionçaux leur revenir à hauteur (2-2). Deux journées plus tard c'était au tour de Saint-Etienne de venir se frotter aux marseillais, et pour cette rencontre Deschamps avait semble-t-il trouvé la clé... de l'ennui en décidant de bétonner derrière. Bilan : un score nul et vierge qui n'arrangeait personne. Enfin, gardons le meilleur (ou le pire c'est selon) pour la fin, pour la cinquième journée de L1, l'OM reçoit Rennes et au terme d'un match globalement dominé, les Rennais, par l'intermédiaire de Kembo mon Coco allaient porter le coup de grâce dans le dernier quart d'heure pour ainsi boucler la boucle d'un bilan catastrophique de nos phocéens au Vélodrome : 2 nuls et une défaite.
Cependant cette défaite n'a sans doute pas eu que des pouvoirs maléfiques, elle a peut-être un peu réveillé des marseillais apathiques qui en avaient bien besoin, et depuis, le bilan est bien meilleur au Vélodrome. Enfin bien meilleur, on est marseillais hein, on a l'habitude d'aller un peu vite en besogne mais c'est ce qui fait notre charme aussi non ? Bref, un bilan bien plus positif donc - après cette tarte (ou dévrais-je plutôt dire crêpe) rennaise - avec deux victoires en autant de rencontres (on parle toutes compétitions confondues, on est des fous). Des succès pas forcément splendides dans le jeu que ce soit face à Evian (2-0) ou face à Dortmund en Ligue des Champions ce mercredi (3-0) mais qui font un bien fou, que ce soit sur le plan comptable ou mental.
Mis à part la victoire, les autres aspects intéressants de la baffe infligée à Dortmund cette semaine, sont le réalisme, la réussite, la chance qui nous faisaient tant défaut auparavant.
Car si d'habitude c'est bien l'OM qui encaisse des buts évitables suite à de mauvais placements, un manque de concentration, etc... l'OM semble avoir trouvé la recette miracle pour vaincre le signe indien et ainsi infliger aux autres ce dont il a été trop souvent victime. Bref, sur cette rencontre de mercredi, si tout n'est pas parfait, loin de là, il y a des progrès notables. De bon augure avant la rencontre de demain face à Brest.
Tiens, venons y justement à cette rencontre, Didier Deschamps bénéficie du retour de Cheyrou dans le groupe alors que concernant Gignac ce ne sera pas encore pour cette fois... On s'attend à une équipe quasi similaire à celle victorieuse face au champion d'Allemagne (3-0). En l'absence de Fanni qui est encore à la recherche d'un cerveau sur E-Bay, Azpi devrait occuper le poste de latéral droit, son penchant à gauche étant sans aucun doute Morel (Traoré est blessé qui plus est). Dans l'axe, la paire Diawara-Nkoulou commence à trouver ses marques, mais c'est bien dans l'entre-jeu qu'il y a le plus d'interrogations. Deschamps jouera-t-il avec deux tours de contrôle et un meneur de jeu comme face à Dortmund par exemple ? Ou alors, au vu de la faiblesse théorique de l'adversaire, préférera-t-il jouer avec son 4-3-3 plus habituel ? Ces choix de système devraient influer sur la feuille de match. Ainsi dans le premier cas, Cheyrou resterait peut être sur le banc, alors que Kaboré et Diarra auraient le rôle de sentinelle avec Lucho devant en 10. Dans le second, c'est Kaboré qui devrait faire les frais du retour de Cheyrou, on pourrait ainsi immaginer un milieu habituel : Diarra, Cheyrou et Lucho. Devant, à priori rien de nouvau sous les tropiques, André Ayew, Rémy et Valbuena semblent tenir la corde.
Face à eux les olympiens affronteront donc un club breton en plein doute, 18ème de L1 et qui n'a encore jamais gagné à l'extérieur (2 nuls, 2 défaites).
Le club du nord ouest de la France n'a également jamais gagné au Vélodrome (7 défaites, 1 nul).
L'occasion rêvée pour l'OM de remporter une vctoire au combien précieuse pour remonter au plus vite au classement. Et puis comme le dit le dicton, "jamais deux sans trois", on ne peut donc réellement pas perdre !