God save the team ... (12/01/2004)

Actualité

God save the team ...

Le Lundi 12 Janvier 2004 par Jybee

Avec un peu de retard, amis Olympiens, bonsoir. Les poulets du duc de Bourgogne ne m'ont pas inspiré sur l'instant mais il faut bien rendre sa copie. Ce que je fais sans tarder. Mais si l'envie de bien faire ne manque pas, le contenu du sujet à tendance à se renouveler à chaque édito. Et bien malgré moi. Mais il faut tout de même rédiger un papier, alors au risque de me répéter, allons-y tout de même.

Les matchs se suivent et se ressemblent donc, ou presque. Et si le résultat peut varier légèrement (mais alors vraiment très légèrement), la manière quand à elle n'évolue pas beaucoup d'un match à l'autre. Une réussite offensive au bord du désespoir, une défense sans grande conviction, et un milieu éparpillé... Au final, une glissade mémorable dans l'axe, un contre et un but encaissé au bout de trois minutes. On ne pouvait pas commencer plus mal. Et même si la volonté de bien faire est là, on ne peut pas dire que cela dure longtemps ... Trop d'inconstance ne peut être facteur de réussite et de victoire.

Le résultat ? Deux pions de retard après quinze minutes de jeu. Et puis s'en est suivi une course après le score. Une course que l'OM ne gagna pas, vous le savez bien. Mais on ne peut plus se cacher derrière un manque de chance, de réussite, ou d'autres raisons invoquées pour excuser la défaite. Il arrive un moment ou l'on est ammené à se poser des questions pour trouver les vraies raisons du malaise.

On ne refera pas le match plus longtemps, tout le monde le connait. On se contentera juste d'espérer une fois de plus, mais une fois de trop. Et malheureusement c'est une fois de trop à chaque fois. Ce mois de Janvier risque d'être aussi capital sinon plus que les mois de Novembre et Décembre qui nous ont couté cher. Entre match en retard, journée de championnat et match de coupe contre notre meilleur ennemi, ce mois de Janvier risque d'être chaud.

Pour faire simple, si aucun résultat ne viens de Metz ou Montpellier, le ventre mou pointera le bout de son nez. Attention à ce qu'il ne nous digère pas. On a beau dire qu'il n'y a pas péril en la demeure, l'OM n'est pas dernier, mais un vent de victoire serait le bienvenue. Faute de mieux, espérons. Les joueurs passent, mais les supporters restent. Qu'il est dur d'être supporter de l'OM par les temps qui courent. God save the team... et alleluia

Amis Olympiens, bonsoir.