Actualité
OM 4-0 Rennes
Voilà, c'est fini...
Le Dimanche 31 Mai 2009 par Ray Flex
La belle victoire Phocéenne acquise aux dépens des Rennais n'aura donc pas suffit puisque dans le même temps Bordeaux s'est imposé 1-0 à Caen et remporte donc son sixième titre de champion de France, avec un total de 80 points contre 77 pour l'OM. Alors je ne vais pas m'étendre, bien que j'ai très envie de m'allonger, car même s'il est vrai qu'il nous fallait un pur miracle estampillé du Grand Barbu, la déception est très grande. C'est l'heure de faire les comptes et on en vient encore à se demander comment on a bien pu perdre face à Lorient le 15 novembre dernier au Vél' (trois buts encaissés dans le dernier quart d'heure après avoir mené 2-0), ou encore comment Nancy vient nous mettre une valise 3-0 en guise de cadeau de Noël. Évidemment le 4-2 infligé par les Parisiens sur cette même pelouse du Vélodrome n'arrange pas les choses, mais c'est surtout la défaite à domicile face aux Lyonnais il y a deux semaines (1-3) qui a certainement scellé le sort de ce qui est pourtant la plus belle saison de Ligue 1 que l'on ait connu depuis le temps des caligaes...
Si la première période de cet OM-Rennes s'est conclue par un 0-0 en grande partie dû à Nicolas Douchez qui s'est interposé sur les tentatives d'Hatem Ben Arfa, Mamadou Niang ou encore Boudewijn Zenden, le gardien Rennais n'a en revanche rien pu faire devant la furia Olympienne des quarante-cinq dernières minutes. C'est tout d'abord Bakari Koné qui a fait se lever le Vél' d'une superbe reprise de volée digne d'une Papinade (1-0, 53ème), suivi dans la foulée par Niang justement servi par le lutin buteur (2-0, 57ème). A peine le temps de se remettre les cordes vocales en place que Koné fait à nouveau parler de lui en expédiant une mine sur le poteau. Le cuir rebondit sur le dos de l'infortuné Douchez avant de finir sa course au fond des filets (3-0, 58ème). Cerise sur le gâteau déposée par Niang qui, profitant d'un caviar signé Benoît Cheyrou dans le dos de la défense Bretonne, allait clore sa saison sur un doublé (4-0, 72ème).
Malheureusement, tout le stade et les centaines de milliers de supporters Marseillais rivés à leurs télés, ordinateurs et radios savent que Gouffran, ancien Caennais, a ouvert le score pour Bordeaux sur la pelouse de son ex-club (0-1, 48ème). Les croisages de doigts, incantations, poupées vaudou, brûlage de cierges, laissent alors peu à peu la place à une résignation à laquelle l'Olympique de Marseille est abonné depuis bien trop longtemps. La messe est dite, au coup de sifflet final le stade Vélodrome ne fête pas ses champions comme espéré, mais acclame longuement les joueurs et surtout l'homme par qui tout a démarré le 25 septembre 2007 : Eric Gerets, qui aura toute les difficultés du monde à contenir son émotion lors de la conférence de presse d'après-match.
Le rideau est donc tombé sur cette saison 2008-2009 et il faut en retenir un point très important : l'Olympique de Marseille n'est plus un simple sparring-partner mais bel et bien un candidat déclaré au titre de champion de France. Et pourquoi pas dès l'année prochaine...
Si la première période de cet OM-Rennes s'est conclue par un 0-0 en grande partie dû à Nicolas Douchez qui s'est interposé sur les tentatives d'Hatem Ben Arfa, Mamadou Niang ou encore Boudewijn Zenden, le gardien Rennais n'a en revanche rien pu faire devant la furia Olympienne des quarante-cinq dernières minutes. C'est tout d'abord Bakari Koné qui a fait se lever le Vél' d'une superbe reprise de volée digne d'une Papinade (1-0, 53ème), suivi dans la foulée par Niang justement servi par le lutin buteur (2-0, 57ème). A peine le temps de se remettre les cordes vocales en place que Koné fait à nouveau parler de lui en expédiant une mine sur le poteau. Le cuir rebondit sur le dos de l'infortuné Douchez avant de finir sa course au fond des filets (3-0, 58ème). Cerise sur le gâteau déposée par Niang qui, profitant d'un caviar signé Benoît Cheyrou dans le dos de la défense Bretonne, allait clore sa saison sur un doublé (4-0, 72ème).
Malheureusement, tout le stade et les centaines de milliers de supporters Marseillais rivés à leurs télés, ordinateurs et radios savent que Gouffran, ancien Caennais, a ouvert le score pour Bordeaux sur la pelouse de son ex-club (0-1, 48ème). Les croisages de doigts, incantations, poupées vaudou, brûlage de cierges, laissent alors peu à peu la place à une résignation à laquelle l'Olympique de Marseille est abonné depuis bien trop longtemps. La messe est dite, au coup de sifflet final le stade Vélodrome ne fête pas ses champions comme espéré, mais acclame longuement les joueurs et surtout l'homme par qui tout a démarré le 25 septembre 2007 : Eric Gerets, qui aura toute les difficultés du monde à contenir son émotion lors de la conférence de presse d'après-match.
Le rideau est donc tombé sur cette saison 2008-2009 et il faut en retenir un point très important : l'Olympique de Marseille n'est plus un simple sparring-partner mais bel et bien un candidat déclaré au titre de champion de France. Et pourquoi pas dès l'année prochaine...
La rencontre
Actualité
- 19/11#Actu
- Robinio Vaz : le jeune talent marseillais confronté à une sanction
- 19/11#Actu
- Mehdi Benatia en route pour un rôle clé à l’OM
- 19/11#Actu
- Rabiot, indiscutable bleu !
- 08/11#Actu
- OM - AJ Auxerre : Les 22 Olympiens
- 03/11#Actu
- FC Nantes - OM : La compo Marseillaise
- 27/10#Actu
- OM - PSG : La compo Marseillaise
- 27/10#Actu
- OM - PSG : Les 23 Olympiens
- 24/10#Actu
- Les stars du football français : de Michel Platini à Kylian Mbappé