Actualité
Saint Etienne 2-3 OM
Hourra Football
Le Jeudi 14 Janvier 2010 par Gulli
Longtemps considérés comme un tirage favorable, le déplacement de l'OM chez les verts de Saint-Etienne aurait été de l'eau bénite fin 2009, sous l'ère Perrin, tellement le fond de jeu et la volonté stéphanoise de sortir un premier pied de la mouise étaient lamentablement absents. Et pourtant, renforcé par l'arrivée de Pape Diakhaté pour consolider une arrière garde on ne peut plus friable, entrainant le replacement de Guirane N'Daw dans l'entrejeu de l'équipe néo-entrainée par Galtier, amenant un surplus physique non négligeable dans ce secteur de jeu. Côté marseillais, aucun renfort, aucun départ, pour le moment, donc une équipe-type alignée par Deschamps en ces temps de CAN qui entraine ce dernier à titulariser Hatem Ben Arfa pour la 3e fois consécutivement. Niang et Lucho remis de leurs blessures respectives, le second était d'ors et déjà placé parmi les onze hommes de départ.
Ben Arfa, Lucho, Niang, et aussi Brandao ont à cœur de prouver l'étendue de leurs talents en vue de cette 2e partie de saison, tout comme l'ensemble de l'équipe du Forez. Advienne que pourra.
Côté Stephanois: Coulibaly - Varrault, Diakhaté, Benalouane, Andreu - N'Daw, Matuidi - Sako, Payet - Rivière, Bergessio.
Côté Olympien: Andrade - Bonnart, Diawara, Hilton, Heinze - Cissé, Cheyrou, Lucho - Ben Arfa, Abriel, Brandao.
Après un premier quart d'heure des plus ennuyeux, Payet commença à mettre au supplice la défense pataude de l'OM, et d'une louche inspirée, s'en alla envoyer Sako battre Andrade d'une reprise de volée malgré le retour en catastrophe de Bonnart et de Heinze. Au cours d'une période riche en erreurs techniques, que ce soit dans les transmissions ou dans de simples contrôles, l'OM revient à la marque par l'intermédiaire du décrié Brandao, qui, sui un service d'Abriel, inscrit en deux temps le but salvateur pour faire taire le temps d'un match, les critiques à son égard. Mais à peine le temps de savourer le but du brésilien que les verts inscrivent leur deuxième but, l'oeuvre d'une tête décroisée de Bergessio sur l'un des premiers coups-franc bien tirés du match. A la mi-temps, les olympiens sont donc menés deux buts à un, la faute à un Edouard Cissé transparent, et à un Heinze quelque peu fébrile sur ses interventions.
En deuxième période, les hommes de Deschamps soufflent un nouveau vent, même si le jeu de l'équipe ne s'en fait pas réellement ressentir. Brandao, encore lui, inscrit le but du doublé sur une sortie manquée de Coulibaly, et marque du coup, dans le but vide, le 2e but marseillais, synonyme d'égalisation. Ensuite, à deux partout, ce n'est plus du football proprement dit, le jeu se rapprochant plus d'une histoire d'Olive et Tom, au vue de la perméabilité des défenses. Et dans l'adversité, l'OM fait appel à son joker Mamad', lui qui s'était blessé en décembre dernier face à Casillas fait son retour contre l'ASSE; Et après une passe de Brandao (encore lui) pour Niang, le sénégalais marqua le but de la délivrance, synonyme de victoire, à la 94e minute... Merci Mamadou, et merci Evarso..Evers...Eva-Everson !
Côté satisfaction olympienne, en plus de la qualification pour les quarts de finale, on peut citer Niang et Brandao évidemment, Lucho, Cheyrou ont fait un bon match, les autres restants quelconques sur ce match là. En revanche, à titre personnel, je tire à boulets rouges sur Edouard Cissé; Le protégé de la Dèche aurait porté un maillot stéphanois que l'illusion aurait été parfaite, c'est dire la prestation de l'ancien joueur du club stambouliote de Besiktas, qui enchaina les fautes et les imprécisions, rien n'est à garder dans sa prestation.
Espérons que ces imprécisions ne contaminent pas plus la fébrilité affichée par l'arrière garde olympienne sur ce match, mais que l'efficacité devant de le but devienne une constante dans le jeu de l'OM pour cette 2e partie de saison.
Ben Arfa, Lucho, Niang, et aussi Brandao ont à cœur de prouver l'étendue de leurs talents en vue de cette 2e partie de saison, tout comme l'ensemble de l'équipe du Forez. Advienne que pourra.
Côté Stephanois: Coulibaly - Varrault, Diakhaté, Benalouane, Andreu - N'Daw, Matuidi - Sako, Payet - Rivière, Bergessio.
Côté Olympien: Andrade - Bonnart, Diawara, Hilton, Heinze - Cissé, Cheyrou, Lucho - Ben Arfa, Abriel, Brandao.
Après un premier quart d'heure des plus ennuyeux, Payet commença à mettre au supplice la défense pataude de l'OM, et d'une louche inspirée, s'en alla envoyer Sako battre Andrade d'une reprise de volée malgré le retour en catastrophe de Bonnart et de Heinze. Au cours d'une période riche en erreurs techniques, que ce soit dans les transmissions ou dans de simples contrôles, l'OM revient à la marque par l'intermédiaire du décrié Brandao, qui, sui un service d'Abriel, inscrit en deux temps le but salvateur pour faire taire le temps d'un match, les critiques à son égard. Mais à peine le temps de savourer le but du brésilien que les verts inscrivent leur deuxième but, l'oeuvre d'une tête décroisée de Bergessio sur l'un des premiers coups-franc bien tirés du match. A la mi-temps, les olympiens sont donc menés deux buts à un, la faute à un Edouard Cissé transparent, et à un Heinze quelque peu fébrile sur ses interventions.
En deuxième période, les hommes de Deschamps soufflent un nouveau vent, même si le jeu de l'équipe ne s'en fait pas réellement ressentir. Brandao, encore lui, inscrit le but du doublé sur une sortie manquée de Coulibaly, et marque du coup, dans le but vide, le 2e but marseillais, synonyme d'égalisation. Ensuite, à deux partout, ce n'est plus du football proprement dit, le jeu se rapprochant plus d'une histoire d'Olive et Tom, au vue de la perméabilité des défenses. Et dans l'adversité, l'OM fait appel à son joker Mamad', lui qui s'était blessé en décembre dernier face à Casillas fait son retour contre l'ASSE; Et après une passe de Brandao (encore lui) pour Niang, le sénégalais marqua le but de la délivrance, synonyme de victoire, à la 94e minute... Merci Mamadou, et merci Evarso..Evers...Eva-Everson !
Côté satisfaction olympienne, en plus de la qualification pour les quarts de finale, on peut citer Niang et Brandao évidemment, Lucho, Cheyrou ont fait un bon match, les autres restants quelconques sur ce match là. En revanche, à titre personnel, je tire à boulets rouges sur Edouard Cissé; Le protégé de la Dèche aurait porté un maillot stéphanois que l'illusion aurait été parfaite, c'est dire la prestation de l'ancien joueur du club stambouliote de Besiktas, qui enchaina les fautes et les imprécisions, rien n'est à garder dans sa prestation.
Espérons que ces imprécisions ne contaminent pas plus la fébrilité affichée par l'arrière garde olympienne sur ce match, mais que l'efficacité devant de le but devienne une constante dans le jeu de l'OM pour cette 2e partie de saison.
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