OM 0-2 Reims : La demi-volée de Luiz-Mouloud (12/08/2019)

Actualité

OM 0-2 Reims
La demi-volée de Luiz-Mouloud

Le Lundi 12 Août 2019 par Luiz Mouloud Obama

Olympique de Marseille

Il y avait l'impression d'une belle saison qui nous attendait et, avec elle, les espoirs de jours meilleurs sur le ciel marseillais. Un coach au nom ronflant, l'arrivée de deux nouveaux joueurs à des postes-clés et au style de jeu résolument agressif (ce qui nous manque clairement). Cela faisait longtemps qu'on avait pas revu le Vélodrome, c'est peu de dire que notre impatience fut grande. Malheureusement, ces promesses ensoleillées allaient être forcément ternies par le maintien du pire président de l'histoire de notre club : Jacques-Henri Eyraud, aussi compétent qu'un tourneur-fraiseur qu'on installerait à la présidence d'Apple. 


Le match contre Reims, pour cette première journée, ressemble étrangement à ce qu'on a fait de pire sous l'ère Garcia. Aucune projection vers l'avant, des minauderies au milieu de terrain, aucun mouvement... C'était une véritable purge que de voir une bande de clowns tenter de mettre à terre l'ogre rémois. Allez, on passe aux notes. 


Mandanda - 5.5 : Un début de match satisfaisant, deux beaux arrêts dans les premières minutes du match, il n'a rien pu faire devant une défense complètement désorganisée. 


Sakai - 3 : Il était fatigué, et dépassé par la vitesse de percussion des attaquants rémois qui, eux, ont bien vu que nos défenseurs avaient des boulets accrochés au postérieur. A moins que la bouillabaisse du midi tardait à être digérée. 


Kamara - 3 : Celui qui tergiverse et hésite avant de prolonger son contrat ferait mieux de jouer au football, parce qu'il est possible qu'il l'oublie un peu trop. Lui aussi fautif sur le premier but rémois.  


Caleta - Car - 4 : De belles transversales, mais inefficace dans la relance, dans une hésitation toujours navrante. Il a perdu, en ce premier match, de sa solidité et de sa rigueur. 


Amavi - 2. En un mot comme en 100 : à dégager. Complètement perdu sur le terrain, il laisse comme d'habitude les attaquants adverses se promener. 


Radonjic - 3 : Il pense que le football est un sport qu'on pourrait relier au 400 mètres, mais il faut lui dire que non. Je pense ne l'avoir jamais vu courir ailleurs que tout droit. Dommage, car capable de belles frappes et de chouettes enchaînements. 


Sanson - 1 : Le pire joueur sur le terrain (avec Germain). Son seul fait d'armes : avoir centré pour Strootman, ce qui nous amène cette frappe sur la transversale. Mais ce centre, Sanson l'a-t-il fait exprès ? 


Strootman - 3 : C'était poussif, c'était lent, c'était agressif (parfois) pour rien. Dans le jeu, il a été aussi décisif que le 7ème but allemand face au Brésil en 2014.  


Gustavo - 4 : Une hargne retrouvée et... C'est tout. Sa pression sur le camp adverse, dans une position remontée un peu plus haut, n'aura servi hélas à rien. 
 
Payet - 3 : Des centres dans le vent, des corners mal-tirés, des tentatives de dribbles avortés... Mais où est le joueur de West Ham ?  

Germain - 0 : Je me demande tous les matins ce qu'il fout à l'OM. 

Chabrolle - 5 : Note encourageante pour le minot de l'OM qui est rentré dans des conditions difficiles. Malgré quelques erreurs de passes, match solide.  

Benedetto - 5 : L'entrée de notre nouvelle recrue a réveillé le Vel et mis de l'impact dans les duels. 

Bouna Sarr - 3 : Boarf, comme d'habitude.


DROIT AU BUT ET ALLEZ l'OM !

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