Actualité
Nice 1-1 OM
Hourra pour nous...
Le Samedi 24 Mars 2012 par Lupin
Déboussolé, désorienté et en chute libre. L'OM n'en finit plus de perdre et se déplace chez des Niçois qui jouent leur survie en L1. Didier Deschamps doit faire sans son meilleur défenseur et son meilleur attaquant. Exit Nkoulou et Rémy donc : Mandanda – Azpi – Fanni – Diawara – Morel – Mbia – Cheyrou – Valbuena – Amalfitano – Ayew – Brandao.
A défaut d'être magnifique, le match s'annonce tendu : les supporters ont de nombreux contentieux en cours (les bus olympiens revenant de Milan se sont faits caillassés à Nice il y a 10 jours...) et les duels seront musclés, celui entre Civelli et Brandao par exemple.
Au bout de 5 minutes de jeu Didier Deschamps doit déjà revoir ses plans : Diawara, blessé doit sortir. Kaboré lui succède, tandis que Stéphane Mbia redescend en défense centrale.
Les Niçois dominent le premier quart d'heure de jeu, sans se créer de réelle occasion de but. Le niveau de jeu est moyen. On dit ça pour être gentil hein.
Après 30 minutes de jeu on ne relève toujours pas la moindre occase. Mais les Niçois se font de plus en plus pressants et menaçants à ce moment-là.
C'est d'abord Mounier qui devance Azpi pour reprendre un centre venu de la droite. Sa frappe passe de peu au-dessus des buts de Mandanda.
Dans la foulée c'est Goncalves qui met le feu dans la défense olympienne. Il déboule côté gauche, mystifie Fanni et Kaboré puis rentre dans l'axe et déclenche un tir, contré, qui flirte avec le poteau.
Sur le corner c'est l'ex olympien Civelli qui reprend de la tête, puissamment, mais Mandanda est à la parade.
Nice aurait pu obtenir un penalty (au moins) : Mbia semble prendre la mauvaise habitude de ceinturer Civelli dans la surface, quand il ne s'accroche pas à lui.
Un premier coup de massue tombe sur la tête des olympiens juste avant la pause : Kaboré prend un rouge direct pour une semelle sur Grandin, lui aussi passé par Marseille il y a quelques saisons.
Mi-temps : L'OM fait le dos rond, sans se créer aucune occasion. Nice a la maîtrise du match mais n'a été réellement dangereux que 5 minutes. Le « spectacle » offert est de piètre qualité.
Après la pause Clerc, très actif sur son côté droit, s'illustre à nouveau en servant Coulibaly. Mais Mandanda continue de veiller et de maintenir le navire olympien à flot.
L'OM ouvre le score sur sa première occasion ! Azpi fait un gros travail côté droit, se débarrasse de Monzon et centre pour André Ayew. Le Ghanéen frappe à ras de terre et trompe Ospina. 1-0 pour l'Olympique de Marseille !
Les Niçois réagissent vite et reprennent leur domination. Les Marseillais tiennent, héroïquement, biens aidés par un énorme Mandanda qui écoeure ses vis-à-vis, notamment Civelli dont la tête à bout pourtant est magnifiquement détournée. Ils tiennent mais jusqu'à quand ?
Jusqu'à la 74ème minute de jeu. Fanni (un habitué) commet une faute dans la surface en accrochant Goncalves. Digard et Brandao en profitent pour se saluer, l'arbitre met fin à ces civilités en leur mettant un jaune chacun. Monzon transforme et Mandanda doit enfin s'avouer vaincu. Comme l'OM ?
Pour une fois non, les Marseillais ne cèdent pas en fin de match et montrent du courage, leur seule vertu ce soir.
Gignac succède à Brandao. Et marque !! Non c'est une blague. Pas drôle je sais. En même temps résumer un match où l'OM ne s'est créé qu'une seule occasion de but n'est pas spécialement rigolo non plus...
Fin du match. On retiendra la cohésion du groupe, la réaction à 10 sans plusieurs joueurs majeurs. On oubliera très vite la manière et surtout le niveau de jeu d'un OM acculé sur son but du début à la fin.
Sans Mandanda résister au Bayern Mercredi ressemblera à une mission impossible...
A défaut d'être magnifique, le match s'annonce tendu : les supporters ont de nombreux contentieux en cours (les bus olympiens revenant de Milan se sont faits caillassés à Nice il y a 10 jours...) et les duels seront musclés, celui entre Civelli et Brandao par exemple.
Au bout de 5 minutes de jeu Didier Deschamps doit déjà revoir ses plans : Diawara, blessé doit sortir. Kaboré lui succède, tandis que Stéphane Mbia redescend en défense centrale.
Les Niçois dominent le premier quart d'heure de jeu, sans se créer de réelle occasion de but. Le niveau de jeu est moyen. On dit ça pour être gentil hein.
Après 30 minutes de jeu on ne relève toujours pas la moindre occase. Mais les Niçois se font de plus en plus pressants et menaçants à ce moment-là.
C'est d'abord Mounier qui devance Azpi pour reprendre un centre venu de la droite. Sa frappe passe de peu au-dessus des buts de Mandanda.
Dans la foulée c'est Goncalves qui met le feu dans la défense olympienne. Il déboule côté gauche, mystifie Fanni et Kaboré puis rentre dans l'axe et déclenche un tir, contré, qui flirte avec le poteau.
Sur le corner c'est l'ex olympien Civelli qui reprend de la tête, puissamment, mais Mandanda est à la parade.
Nice aurait pu obtenir un penalty (au moins) : Mbia semble prendre la mauvaise habitude de ceinturer Civelli dans la surface, quand il ne s'accroche pas à lui.
Un premier coup de massue tombe sur la tête des olympiens juste avant la pause : Kaboré prend un rouge direct pour une semelle sur Grandin, lui aussi passé par Marseille il y a quelques saisons.
Mi-temps : L'OM fait le dos rond, sans se créer aucune occasion. Nice a la maîtrise du match mais n'a été réellement dangereux que 5 minutes. Le « spectacle » offert est de piètre qualité.
Après la pause Clerc, très actif sur son côté droit, s'illustre à nouveau en servant Coulibaly. Mais Mandanda continue de veiller et de maintenir le navire olympien à flot.
L'OM ouvre le score sur sa première occasion ! Azpi fait un gros travail côté droit, se débarrasse de Monzon et centre pour André Ayew. Le Ghanéen frappe à ras de terre et trompe Ospina. 1-0 pour l'Olympique de Marseille !
Les Niçois réagissent vite et reprennent leur domination. Les Marseillais tiennent, héroïquement, biens aidés par un énorme Mandanda qui écoeure ses vis-à-vis, notamment Civelli dont la tête à bout pourtant est magnifiquement détournée. Ils tiennent mais jusqu'à quand ?
Jusqu'à la 74ème minute de jeu. Fanni (un habitué) commet une faute dans la surface en accrochant Goncalves. Digard et Brandao en profitent pour se saluer, l'arbitre met fin à ces civilités en leur mettant un jaune chacun. Monzon transforme et Mandanda doit enfin s'avouer vaincu. Comme l'OM ?
Pour une fois non, les Marseillais ne cèdent pas en fin de match et montrent du courage, leur seule vertu ce soir.
Gignac succède à Brandao. Et marque !! Non c'est une blague. Pas drôle je sais. En même temps résumer un match où l'OM ne s'est créé qu'une seule occasion de but n'est pas spécialement rigolo non plus...
Fin du match. On retiendra la cohésion du groupe, la réaction à 10 sans plusieurs joueurs majeurs. On oubliera très vite la manière et surtout le niveau de jeu d'un OM acculé sur son but du début à la fin.
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