Actualité
OM 1-0 Metz
Une dernière pour la route
Le Lundi 17 Octobre 2016 par Adil et Forza
En cette soirée au Vél' où l'OM fêtait non seulement sa 2369ème cape dans l'élite mais aussi la dernière de l'ère Louis-Dreyfus la victoire était obligatoire. Pour ce faire, Franck Passi alignait son 4-4-2 habituel avec pour seul changement l'entrée d'un Bouna Sarr remplaçant Rémy Cabella blessé une nouvelle fois au genou.
Dans les tribunes, la Vieille Garde tout comme les Fanatics rendaient hommage à Minouche, un des pionniers des Ultras décédé il y a peu. Le virage Nord remerciait à sa manière l'ère Margarita Louis-Dreyfus (« ciao Margarita et encore merci pour les 300 Yankee IDS ») rappelant le conflit juridique qui lie depuis quelques semaines le groupe des Yankee à l'OM. Au Sud, les Ultras ont tout d'abord insisté sur l'anti-racisme des supporters de l'OM (« antiracistes pour toujours ») avant de rappeler que le Vél' ne sera jamais l'Orange Vélodrome (« de 1937 à la fin des temps. A jamais un seul nom : stade Vélodrome »).
Sur le terrain, les hommes d'El Local n'ont pas déçu au cours de la première mi-temps proposant une animation offensive inspirée, où tour à tour le quatuor offensif y allait de son action. Alors que successivement Sarr, Thauvin et Njie ne croisaient pas assez leur frappe, Gomis y allait de son but trouvant la faille à la 13ème minute grâce à un placement bien senti sur corner. De plus, malgré le manque de combinaisons collectives, la domination Olympienne s'est traduite par l'enchaînement d'actions individuelles de nos attaquants. Toutefois, si cette domination était nette, la défense se montrait fébrile sur les contres Grenats, Erding alertant plusieurs fois Yoann Pelé à l'image de son face-à-face manqué (29') alors qu'il partait seul dans le dos de la défense. C'est donc sur ce court avantage que l'arbitre mettait fin à cette première période.
Au retour des vestiaires la partie descendait d'un ton en terme d'intensité et de qualité de jeu. Perdus dans un faux rythme (comme notre streaming), les Marseillais cédaient du terrain aux Messins concédant plusieurs occasions à l'image de cette action litigieuse où Gomis est tout heureux de ne pas voir l'arbitre siffler penalty après un accrochage plus que limite avec O.Nguette (56'). Entre ébauche d'action offensive et blessure musculaire à la cuisse (Vainqueur, 70'), l'OM peinait une nouvelle fois à enfoncer le clou laissant entrevoir une nouvelle fin de match stressante. C'est donc au bout du suspense et après des choix tactiques discutables que l'OM assura l'essentiel : les 3 points pour sa troisième victoire à domicile de la saison (en 5 matchs). Si Passi a procédé à du poste pour poste en changeant Bouna Sarr par Leya Iseka déplaçant Njie sur l'aile (64'), le Biterrois a pris un risque inconsidéré en plaçant le petit Lopez aux côtés de Diarra (70') devant la défense au moment où la physionomie du match incitait à la prudence. Au final, cela n'aura pas d'incidence sur le score pas plus que l'incroyable boulette d'Hiroki Sakai qui au grand plaisir des supporters n'a pas imité un de ses glorieux prédécesseurs, Koji Nakata devenu célèbre pour sa passe invisible sous les flocons.
Au final, l'histoire ne retiendra que les 3 points d'un match semblable à tant d'autres au cours de ces ultimes saisons Dreyfus. Un bilan comptable très certainement relégué dès demain au second rang avec la très attendue intronisation de Frank McCourt à la tête de l'OM. Une nouvelle page s'ouvre donc, les Marseillais espérant qu'elle s'écrive d'emblée par une victoire lors d'un Clasico dores et déjà présent dans toutes les têtes comme l'attestent ce soir les chants qui ont retentit des virages en fin de match.
Dans les tribunes, la Vieille Garde tout comme les Fanatics rendaient hommage à Minouche, un des pionniers des Ultras décédé il y a peu. Le virage Nord remerciait à sa manière l'ère Margarita Louis-Dreyfus (« ciao Margarita et encore merci pour les 300 Yankee IDS ») rappelant le conflit juridique qui lie depuis quelques semaines le groupe des Yankee à l'OM. Au Sud, les Ultras ont tout d'abord insisté sur l'anti-racisme des supporters de l'OM (« antiracistes pour toujours ») avant de rappeler que le Vél' ne sera jamais l'Orange Vélodrome (« de 1937 à la fin des temps. A jamais un seul nom : stade Vélodrome »).
Sur le terrain, les hommes d'El Local n'ont pas déçu au cours de la première mi-temps proposant une animation offensive inspirée, où tour à tour le quatuor offensif y allait de son action. Alors que successivement Sarr, Thauvin et Njie ne croisaient pas assez leur frappe, Gomis y allait de son but trouvant la faille à la 13ème minute grâce à un placement bien senti sur corner. De plus, malgré le manque de combinaisons collectives, la domination Olympienne s'est traduite par l'enchaînement d'actions individuelles de nos attaquants. Toutefois, si cette domination était nette, la défense se montrait fébrile sur les contres Grenats, Erding alertant plusieurs fois Yoann Pelé à l'image de son face-à-face manqué (29') alors qu'il partait seul dans le dos de la défense. C'est donc sur ce court avantage que l'arbitre mettait fin à cette première période.
Au retour des vestiaires la partie descendait d'un ton en terme d'intensité et de qualité de jeu. Perdus dans un faux rythme (comme notre streaming), les Marseillais cédaient du terrain aux Messins concédant plusieurs occasions à l'image de cette action litigieuse où Gomis est tout heureux de ne pas voir l'arbitre siffler penalty après un accrochage plus que limite avec O.Nguette (56'). Entre ébauche d'action offensive et blessure musculaire à la cuisse (Vainqueur, 70'), l'OM peinait une nouvelle fois à enfoncer le clou laissant entrevoir une nouvelle fin de match stressante. C'est donc au bout du suspense et après des choix tactiques discutables que l'OM assura l'essentiel : les 3 points pour sa troisième victoire à domicile de la saison (en 5 matchs). Si Passi a procédé à du poste pour poste en changeant Bouna Sarr par Leya Iseka déplaçant Njie sur l'aile (64'), le Biterrois a pris un risque inconsidéré en plaçant le petit Lopez aux côtés de Diarra (70') devant la défense au moment où la physionomie du match incitait à la prudence. Au final, cela n'aura pas d'incidence sur le score pas plus que l'incroyable boulette d'Hiroki Sakai qui au grand plaisir des supporters n'a pas imité un de ses glorieux prédécesseurs, Koji Nakata devenu célèbre pour sa passe invisible sous les flocons.
Au final, l'histoire ne retiendra que les 3 points d'un match semblable à tant d'autres au cours de ces ultimes saisons Dreyfus. Un bilan comptable très certainement relégué dès demain au second rang avec la très attendue intronisation de Frank McCourt à la tête de l'OM. Une nouvelle page s'ouvre donc, les Marseillais espérant qu'elle s'écrive d'emblée par une victoire lors d'un Clasico dores et déjà présent dans toutes les têtes comme l'attestent ce soir les chants qui ont retentit des virages en fin de match.
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